La nuit venait d’enfanter le jour
Et j’ai pris le chemin du retour
A mille lieux, j’ai découvert une étoile
Alors j’ai voulu tisser ma toile.
D’interminables obstacles s’annoncent difficiles
Quand au prix d’une vie, rien n’est facile.
J’ai décidé de partir dans l’enfer des intempéries
Braver les dangers terrestres et la mer en furie.
Elle brille cette étoile et illumine mon chemin
J’ai fais mes bagages et pris mon parchemin
Sur lequel j’ai écris JAYSHREE avec mon sang
Le sang rouge de mon âme pur – sang.
Malheureusement la lampe perd de sa clarté
Quand s’annonce la nuit sombre en aparté
Et qui phagocyte ma boussole d’or étoilée ;
Que de peine perdue dans cette aventure rêvée.
TANYF
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Publications sur Toute La Poésie
JAYSHREE
26 mai 2009 - 01:25
UNION
29 avril 2009 - 01:37
Je voudrais de ton jardin un parfum exotique
De fleurs couleur rose de mon âme érotique
Et dont les épineux pétales protègent notre amour
Contre l'aigreur des cœurs voraces et jaloux
Je voudrais faire de ton jardin un paradis
Où renait la vie de nos espoirs en sursis ;
Cultiver affectueusement la fidélité de nos pensées
Dans un monde de désespoirs, de regrets et d'infidélités
Je voudrais dans mon rêve doux et éveillé
Entendre le pouls de nos cœurs battre à l'unisson.
Sentir la beauté de nos envies émerveillés
Dans la profondeur de nos soupirs en ébullition
AMOUR
25 février 2009 - 04:13
Amertume
De mon corps éveillé d’une nuit amoureuse
J’entends le message tambouriné de mon cœur
Et du haut de mes angoisses morbides et inassouvies
Je te cherche entre monts et vallées endormis.
La haine de mes envies torture mes pensées ;
Partout mon regard se promène médusé
Et dans les alcôves closes de mon imagination
Je cherche une âme de secours à mon obsession
Je refuse le sort des lâches qui se suicident sans soucis
Ni de ceux qui s’empoisonnent sans courage
Mais de celui qui utilise la beauté du verbe sous l’orage
Du feu de ses sentiments pour chanter sa mélancolie
Et un jour de printemps mon cœur connaîtra la victoire
Du valeureux pêcheur patient sous les rayons de feux
Qui sans tambours ni trompette contemple heureux
Sa médaille fédératrice d’espoir
De mon corps éveillé d’une nuit amoureuse
J’entends le message tambouriné de mon cœur
Et du haut de mes angoisses morbides et inassouvies
Je te cherche entre monts et vallées endormis.
La haine de mes envies torture mes pensées ;
Partout mon regard se promène médusé
Et dans les alcôves closes de mon imagination
Je cherche une âme de secours à mon obsession
Je refuse le sort des lâches qui se suicident sans soucis
Ni de ceux qui s’empoisonnent sans courage
Mais de celui qui utilise la beauté du verbe sous l’orage
Du feu de ses sentiments pour chanter sa mélancolie
Et un jour de printemps mon cœur connaîtra la victoire
Du valeureux pêcheur patient sous les rayons de feux
Qui sans tambours ni trompette contemple heureux
Sa médaille fédératrice d’espoir
AMOUR
20 février 2009 - 02:07
Chant d'amours
Sur le sable nu des cœurs amoureux
Où viennent mourir des vagues furieuses
Dans un concert silencieux de nos soupirs,
Je revis la colère inassouvie de mes désirs
La joie de mes sentiments explose de gaité
Sous la clameur ensoleillée de mes émotions
Et mon corps frissonnant d'héroïques sensations
Silencieusement se meut sous nos regards croisés.
Satisfaites, les vagues paresseuses sans clapotis
Retournent soulagées et mon corps en sursis
Contemple la lumière diffuse que laissent échapper
Les rayons doux de soleil qui encensent nos parfums de beauté.
Me voici innocent, ivre de bonheur et de frisson
Quand tes mains agiles dans un récital poétique
Habiles et nonchalantes parcourent sans frison
Les artères nues et endormies de mon être érotique
TANYF
Sur le sable nu des cœurs amoureux
Où viennent mourir des vagues furieuses
Dans un concert silencieux de nos soupirs,
Je revis la colère inassouvie de mes désirs
La joie de mes sentiments explose de gaité
Sous la clameur ensoleillée de mes émotions
Et mon corps frissonnant d'héroïques sensations
Silencieusement se meut sous nos regards croisés.
Satisfaites, les vagues paresseuses sans clapotis
Retournent soulagées et mon corps en sursis
Contemple la lumière diffuse que laissent échapper
Les rayons doux de soleil qui encensent nos parfums de beauté.
Me voici innocent, ivre de bonheur et de frisson
Quand tes mains agiles dans un récital poétique
Habiles et nonchalantes parcourent sans frison
Les artères nues et endormies de mon être érotique
TANYF