Aller au contenu

kafal86

Inscrit(e) : 03 mars 2009
Hors-ligne Dernière activité : mars 28 2011 08:31

Publications sur Toute La Poésie

LE MENDIANT D'AMOUR

23 mars 2011 - 06:18

Mes journées loin de toi sont moroses
La nuit m'attriste...Il y a une absence physique manifeste
Mon regard hors du tien mais mon pouls au rythme de ton cœur
Je pleure...
Je pleure ce vide, cette absence, cette indifférence...
Que toi seul peux combler
Ma force de toi je la tire
Mais aussi le désespoir tu me l’as définie
Mystère dont ma raison essaie de résoudre l'énigme
3 Juin 2008 aujourd’hui 1er Janvier 2011
Faisons un bilan
Pas un coup de fil, pas un sourire à mon égard, pas un baiser amical, même pas un BONJOUR
Oui, rien de rien
Taire ses preuves c’est les in-estimés,
Alors je tais toute ces fois où je t’ai dépannée
Toi et ta famille,
Je tais toutes ces fois où tu m’as humilié
Toutes ces fois où en cachette j’ai pleuré
Toutes ces fois où…
Quoique Orphée, Quoique martyr mon cœur s’y accroche
Mais en désaccord avec ma raison
L’AMOUR c’est comme ça qu’on appel je crois ce que je ressens,
Franchement c’est invivable, létal même je dirais
Mais malgré tout le mendiant que je suis continuera sa mendicité
Car ce qui me retient est fort

Pour une DEESSE dont on ne se lasserai de contempler

meiteanlyou@yahoo.fr

LE MENDIANT D'AMOUR

23 mars 2011 - 06:15

Mes journées loin de toi sont moroses
La nuit m'attriste...Il y a une absence physique manifeste
Mon regard hors du tien mais mon pouls au rythme de ton cœur
Je pleure...
Je pleure ce vide, cette absence, cette indifférence...
Que toi seul peux combler
Ma force de toi je la tire
Mais aussi le désespoir tu me l’as définie
Mystère dont ma raison essaie de résoudre l'énigme
3 Juin 2008 aujourd’hui 1er Janvier 2011
Faisons un bilan
Pas un coup de fil, pas un sourire à mon égard, pas un baiser amical, même pas un BONJOUR
Oui, rien de rien
Taire ses preuves c’est les in-estimés,
Alors je tais toute ces fois où je t’ai dépannée
Toi et ta famille,
Je tais toutes ces fois où tu m’as humilié
Toutes ces fois où en cachette j’ai pleuré
Toutes ces fois où…
Quoique Orphée, Quoique martyr mon cœur s’y accroche
Mais en désaccord avec ma raison
L’AMOUR c’est comme ça qu’on appel je crois ce que je ressens,
Franchement c’est invivable, létal même je dirais
Mais malgré tout le mendiant que je suis continuera sa mendicité
Car ce qui me retient est fort

Pour une DEESSE dont on ne se lasserai de contempler

meiteanlyou@yahoo.fr