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john doe

Inscrit(e) : 07 mars 2009
Hors-ligne Dernière activité : mars 14 2009 02:01

Publications sur Toute La Poésie

nothing

14 mars 2009 - 02:01

de rien

12 mars 2009 - 03:04

L'art est une prison
On y laisse toute notre noblesse , la beauté et la grandeur d'ame
Puis on ferme la cellule à double tour
Et on repart
Faire autre chose
Comme se gratter les pieds

a l ecoute

10 mars 2009 - 10:03

Tu pourrais facilement trouver un remplaçant pour le duo et qui chantera mieux les paroles des partitions , tu as tout pour briller et tu brilles , de talent et de beauté ,

tu trouvera tant de gens qui aiment les étoiles quand je serais mort , qui sauront te le dire toujours

moi je n’ai pas su aujourd’hui

tu peux te mettre en colère

m’en vouloir je comprends

pour t’expliquer pourquoi j étais absent à ta repetition faut que je te raconte ma vie et de loin il me reste un fond de pudeur et une fin de sang glacé pour ne pas encombrer inutilement ces pages consacrées à la poesie où nos coeurs qui se cherchent tant parfois se croisent

je t aime

mais t’en fais ce que tu veux

ce n’est pas la distance qui nous éloigne

mais aussi deux pages noircies séparément par deux mains qui ne se touchent pas quand elles s’écrivent des poèmes d’amour

Je vais chercher ta voix au fond de ma bouteille de wisky , je te laisse sur cette page mon amour depuis toujours tendrement



Ton Narcisse fané

§§

10 mars 2009 - 12:43

une fois posé

le geste meurt

comme le mot

l’amour est leur recommencement

dont le seul but est dans le sens du coeur
sortant de soi


en l’autre un versement et

un renversement chronique à la case depart

où je voudrais finir versé en toi

a zeke qui tu m inspires avec thank you

09 mars 2009 - 02:28

il faira toujours matin dans notre amour

la vieille gitane me l'a dit

lovely


me l'a juré
tu vois


et sur le vinyl de la terre on dansera

le soul

and le funk

dehanchés

au-delà l'essoufflement

qu'apres on ira reposer

tes jambes folles

en

mes mains pales

couchés sur l'extase

extirpée de nos gorges

sécher nos sueurs

au soleil

des tropiques

de nos coeurs

l'un à l'autre

pages du meme livre

o combien

de plus en plus

bleu