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caroline31

Inscrit(e) : 16 avril 2009
Hors-ligne Dernière activité : juin 02 2012 09:37

Messages que j'ai posté

Dans la publication : LE CERVEAU

04 mai 2009 - 12:38

BONJOUR JEAN-YVES

Je te remercie d'avoir pris le temps de lire mon poème. A savoir que c'était ma première publication car jusqu'à ce jour je n'avais jamais fait lire mes poèmes à personne.
Je vais de ce pas lire tes publications.
Cordialement,
CAROLINE

et dire que l'être humain n'utilise qu'une infime partie de son potentiel!
amitiés, jean-yves

Dans la publication : " Journée fatale "

04 mai 2009 - 12:29

BONJOUR DAD ALLAOUA

J'aime beaucoup le dicton que tu as cité "Un homme mort, c'est celui...". C'est un bon leitmotiv pour avancer dans la vie.
A mon tour de te transmettre une citation: "Il y a des jours sans et des jours avec et les jours sans il faut faire avec!"
Cordialement,
CAROLINE

Bonsoir Pierre James

Joli poème qui traite la réalité de nos sociétés respectives,
mais moi, j'ai mon esprit cahoté entre deux dictons :
1/ le monde a été construit par les fous, pour que les sages puissent vivre.
2/ un homme mort, c'est ce lui, qui n'aura rien, à faire demain
Amicalement
Allaoua

Dans la publication : " Journée fatale "

04 mai 2009 - 11:25

BONJOUR PJ
Ca fait plaisir de lire tes rimes surtout un lundi matin. Oui au bonheur de ne rien faire et de le revendiquer!
J'ai beaucoup aimé ton poême et je vais de ce pas lire tes autres publications.
Cordialement,
CAROLINE, une Toulousaine qui prend le temps de vivre!!

*§*


Je tire ma flemme au long d'une journée sans fin

La nuit venue ma paresse s'est mise toute nue

La voici ronflante à scier le tronc d'un pin

Goûtant par oisiveté un rêve un rien cucu



Le repos mis au rang de drogue salutaire

Cette loi j'en rêvais et la voilà sur plan

Dans mon monde à moi ne rien faire c'est bien faire

Ne pas lever le p'tit doigt c'est avoir du cran



Autant dire qu'aucun ne travaille ici c'est la bulle

Bien calé dans mon fauteuil je savoure une chanson

Je prends tout avec recul même le pécule !

Plus un seul péquin pour s'intéresser au pognon



Je tire au flanc au creux de tes bras mon amour

M'y prélasser est indispensable, une thérapie

Quand tu te languis de moi je m'enroule autour

Nos brûlants plaisirs dérivent sur la descente de lit



Cela étonne de ne trouver ici âme qui boulonne

Un mystère qui vous nourrit le bec sans peine

Ce paradis des fainéants heureux détonne

Du pain qui se donne à l'eau qui s'offre en fontaine



C'est un jardin d'Eden oasis dans la dune

Ouvert à toute âme qui d'un rien s' émerveille

On est prié de pendre son chapeau à la lune

Vider sa tête et chauffer ses os au soleil



*§*