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Les tombes
Dans les tombes rondes,
Les ondes
Fameuses
De toutes les gueuses
Proposent une solution,
Un verbe
D’alcool serbe
Pour guérir la salutation ;
Le mal hélas demeure,
Arrache le cœur divin
Et l’heure
Du vin.
Se n’est qu’un espace,
Un féru de chasse.
Le ciel collectionne les belles histoires,
Et s’il faut couper les poires,
Evitons de trancher le mauvais côté des déboires.
Alexandre
Alejandro
Inscrit(e) : 17 avril 2009Hors-ligne Dernière activité : mars 27 2011 12:38
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Publications sur Toute La Poésie
Les tombes
18 mars 2011 - 09:42
SEMBLER AIMER ?
17 mars 2011 - 06:57
SEMBLER AIMER ?
Nul ne semble aimer
Ce que je suis
L’un dit : « à bâbord ! », l’autre : « arrimez ! »
Alors je poursuis
Ma route
Et qu’elle soit rouge ou verte : je la suis.
Animer
Le sanglot du deuil que je suis,
Jusqu’à la déroute,
Jusqu’à ce que coûte
La somme des deux-deux que tu produis
Et nous serons misérables, jusqu’à l’inanimer.
Alejandro
VIVRE
14 mars 2011 - 03:48
VIVRE
Vivre, ne connaître que cela.
Boire un verre de coca-cola.
Puisqu’il s’agit de la joie :
Ne soyons pas rabat-joie.
Chaque fois que j’envisage le départ,
Un écart de conduite
Perce la conduite
Et me prive de part.
Mille fois je me suis lancé,
Vainement je me suis perdu
Dans le dédale élancé
D’un silence vendu
L’oiseau s’envole, chante
Et c’est toute la vie qui danse.
Alors je me décide et vais
Comme jadis, comme tu savais,
Aller voir voguer Alphonse Allais.
Alejandro
c'est un rêve
06 juin 2009 - 04:02
c'est un rêve, ou peut-être un piège...
le chant mélodieux d'une sirène vierge.
c'est un chant ou peut-être une invitation
à voir le royaume des poissons
je ne sais plus, je ne sais plus.
tant d'années à aimer la mer,
tant d'années à vivre dans l'Amer.
je ne sais plus, je ne sais plus...
je suis un rescapé, je suis le rescapé, je suis ce rescapé.
et tant que l'homme sera le con de la planète,
je ne cesserai du globe à le décaper,
jusquà sectionner ses bourses emplies de gamètes.
je m'éveille,
et sans trembler la faille...
dormez ! dormez ! dormez ! jusqu'au dédain...
demain sachez-le ma main
effacera la joie de l'opportunité.
Alejandro.
le chant mélodieux d'une sirène vierge.
c'est un chant ou peut-être une invitation
à voir le royaume des poissons
je ne sais plus, je ne sais plus.
tant d'années à aimer la mer,
tant d'années à vivre dans l'Amer.
je ne sais plus, je ne sais plus...
je suis un rescapé, je suis le rescapé, je suis ce rescapé.
et tant que l'homme sera le con de la planète,
je ne cesserai du globe à le décaper,
jusquà sectionner ses bourses emplies de gamètes.
je m'éveille,
et sans trembler la faille...
dormez ! dormez ! dormez ! jusqu'au dédain...
demain sachez-le ma main
effacera la joie de l'opportunité.
Alejandro.
Aime
30 mai 2009 - 07:13
Aime-moi,
Offre-moi
Un sourire
Priait l'enfant
Privé de rire.
Offre-moi
Le doux vent
Qui réchauffe
Les cœurs.
Et la saveur
Le rendit sauf,
Ce petit malheureux,
Ne fut plus ce petit
Malheureux,
Ce petit
Redevint, pour le Seigneur,
Le plus grand bonheur
Alejandro.
