Tu ressembles à l'aurore,
Qui ouvre les matins au doux soleil,
A tes cotés,toute la nuit on veille,
On renifle l'odeur de ton parfum,on dort,
Le regard de tes yeux noirs m'assomme,
Et me fait rêver à un monde plein d'arômes,
De ton corps qui ondule et se donne,
Aux caresses de mes mains rugueuses,il s'abandonne,
Tes cheveux soyeux couvrent mon visages,
Ils stimulent le désir à tous les âges,
Ton corps si beau à l'abordage,
offre tous les plaisirs en achalandage.
le printemps de monenfance
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A celle dont le teint est mat,couleur sable d'or
26 août 2009 - 08:44
Une pensée rebelle
25 août 2009 - 05:39
Sombre destin,
Qui au long de la vie,sans fins,
Irrite le moi,en aigrefin,
Et fait de lui,un mou sans entrain,
Nonchalance désintérêt et latences,
Sont au premier plan de ses outrances,
Il s'en va droit en errance,
Sans but suivant l'air du temps,sans pitance,
Dans les rêves et les instances,il s'enfonce,
Il manipule l'aisance et la malchance,
Il en fait des alliés de manigances,
Pour aboutir vers des voies de non-sens
Qui au long de la vie,sans fins,
Irrite le moi,en aigrefin,
Et fait de lui,un mou sans entrain,
Nonchalance désintérêt et latences,
Sont au premier plan de ses outrances,
Il s'en va droit en errance,
Sans but suivant l'air du temps,sans pitance,
Dans les rêves et les instances,il s'enfonce,
Il manipule l'aisance et la malchance,
Il en fait des alliés de manigances,
Pour aboutir vers des voies de non-sens
Je voyais de ma fenêtre
22 août 2009 - 04:49
C'est un jour avec un soleil de plomb,
Je voyais les arbres et les roseaux,
Remués par un vent léger ,chaud,
Une sueur abondante inondait mon front,
Au loin,j'entendais le bruit des voitures,
Elles rentraient ou quittaient la ville,
En face c'est la gare pour l'aventure,
Avec les trains sur les quais qui sifflent,
Ils démarrent en trombe,
Et se faufilent à travers les plaines,
Sous le vol des colombes,
émerveillées ,par le ronronnement des moteurs qui peinent,
Ma vue déclinant plus bas,
J'aperçus trois jeunes sapins,alignés en haie,
Ils ressemblaient à des coutelas,
Qui protégeaient le jardin et la belle demeure qui plais.
Je voyais les arbres et les roseaux,
Remués par un vent léger ,chaud,
Une sueur abondante inondait mon front,
Au loin,j'entendais le bruit des voitures,
Elles rentraient ou quittaient la ville,
En face c'est la gare pour l'aventure,
Avec les trains sur les quais qui sifflent,
Ils démarrent en trombe,
Et se faufilent à travers les plaines,
Sous le vol des colombes,
émerveillées ,par le ronronnement des moteurs qui peinent,
Ma vue déclinant plus bas,
J'aperçus trois jeunes sapins,alignés en haie,
Ils ressemblaient à des coutelas,
Qui protégeaient le jardin et la belle demeure qui plais.
Le bien-être
18 août 2009 - 12:09
C'est quoi le bien-être,
Une sensation qui ne peut-être,
Qu'une joie intérieure intense,
Qui procure le calme et l'aisance,
C'est aussi l'art des maîtres,
Qui maîtrisent les sciences et les lettres,
Ils ont le devoir de transmettre,
leur savoir à tous les êtres,
En quête de ce rare bien,
Qui va et qui vient,
Il n'a pas de lien,
C'est comme un magicien.
Une sensation qui ne peut-être,
Qu'une joie intérieure intense,
Qui procure le calme et l'aisance,
C'est aussi l'art des maîtres,
Qui maîtrisent les sciences et les lettres,
Ils ont le devoir de transmettre,
leur savoir à tous les êtres,
En quête de ce rare bien,
Qui va et qui vient,
Il n'a pas de lien,
C'est comme un magicien.
Le regard de l'espérance
17 août 2009 - 01:01
Ma tête lourde se tourne vers le passé,
Les idées reviennent au présent le froisser,
Il y'a tant de choses ancrées,
Dont le souvenir circonstantiel et concret,
Me renvoie des années en arrière,
Pour agir et franchir les barrières,
Des interdits ,entraves aux chemins ,
Des lendemains incertains,
La route sinueuse de la vie,
Qui descend et monte comme on dit,
Pimente et simule l'envie,
Et crée l'espoir qui bondit.
Les idées reviennent au présent le froisser,
Il y'a tant de choses ancrées,
Dont le souvenir circonstantiel et concret,
Me renvoie des années en arrière,
Pour agir et franchir les barrières,
Des interdits ,entraves aux chemins ,
Des lendemains incertains,
La route sinueuse de la vie,
Qui descend et monte comme on dit,
Pimente et simule l'envie,
Et crée l'espoir qui bondit.