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Je suis en plein extase
mon coeur rempli d'amour s'évase
redevenu apaisé se case
sur son antique divan il se prélasse
dans un horizon irisé d'espoir se laisse
submerger par cette lueur qui se tasse
en un drap lacté me couvrant comme un amas de liasse
m'apportant qu'allégresse et liesse
Anis1984
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28 avril 2009 - 16:18 -
Publications sur Toute La Poésie
Quiétude
06 mai 2009 - 08:40
Vacuité morale
04 mai 2009 - 04:53
Mon coeur est dépourvu de tout sentiment
je me en plaindrai pas sûrement
je ne ressens que tourment
qui m'éreinte et me meurtri longuement
dépravé et éhonté mon être se lamente
de son sinistre sort il s'invente
une amante soumise à lui aimante
qui est devenue une compagne ardente
lui infligeant une plaie sanglante
laissant à son ame tourmenté une séquelle latente
qui lui subsistera pour toujours comme saillante
je me en plaindrai pas sûrement
je ne ressens que tourment
qui m'éreinte et me meurtri longuement
dépravé et éhonté mon être se lamente
de son sinistre sort il s'invente
une amante soumise à lui aimante
qui est devenue une compagne ardente
lui infligeant une plaie sanglante
laissant à son ame tourmenté une séquelle latente
qui lui subsistera pour toujours comme saillante
L'élue
30 avril 2009 - 02:04
Je te cherchais depuis longtemps
je pense à toi trop souvent
mon coeur meurtri se lamente tout-le temps
de toi je suis devenu fervent
attisé je m'enflamme en un amant
je te l'ai fait comme un serment
priant au clair de lune jusqu'au levant
aspirant t'apercevoir en me réveillant
je t'attendrai pendant mille ans
jusqu'Ã la fin de mes illusions
je pense à toi trop souvent
mon coeur meurtri se lamente tout-le temps
de toi je suis devenu fervent
attisé je m'enflamme en un amant
je te l'ai fait comme un serment
priant au clair de lune jusqu'au levant
aspirant t'apercevoir en me réveillant
je t'attendrai pendant mille ans
jusqu'Ã la fin de mes illusions
Le trépas
29 avril 2009 - 07:40
Oh! quand viendra l'inéluctable
tu existes depuis le néant
tu t'es assis sur ton séant
épiant les ames déclinantes
laissant aux gens des plaies béantes
ta demeure est hantée par des géants
ton ombre investie mon esprit
épargne à mon ame les sévisses de l'abjection
de ta grandeur je suis épris
élude à mon être meurtri la déréliction
remplis mon ame de ton affection
je me tourne vers toi avec mon inébranlable conviction
accueille moi dans ton royaume de bénédiction
élève moi jusqu'à la béatitude
en me submergeant de ta mansuétude
tu existes depuis le néant
tu t'es assis sur ton séant
épiant les ames déclinantes
laissant aux gens des plaies béantes
ta demeure est hantée par des géants
ton ombre investie mon esprit
épargne à mon ame les sévisses de l'abjection
de ta grandeur je suis épris
élude à mon être meurtri la déréliction
remplis mon ame de ton affection
je me tourne vers toi avec mon inébranlable conviction
accueille moi dans ton royaume de bénédiction
élève moi jusqu'à la béatitude
en me submergeant de ta mansuétude
Impasse
28 avril 2009 - 03:36
Je ne connais point d'ordre
je ne vis que dans le désordre
je me soumets à lui sans mordre
je naquis ni à Paris ni à Londre
mon envie et mon désire et de me fondre
dans ce chaos sans me morfondre
à vrai dire il n'y a point de ruines ni de cendres
pourquoi aspirer à se défendre
quand il y a point que désordre
je ne vis que dans le désordre
je me soumets à lui sans mordre
je naquis ni à Paris ni à Londre
mon envie et mon désire et de me fondre
dans ce chaos sans me morfondre
à vrai dire il n'y a point de ruines ni de cendres
pourquoi aspirer à se défendre
quand il y a point que désordre
