Le couchant m'a montré
Tant de sourires de mortes
Aux regards séraphiques
Et aux lèvres accortes
Les feuilles en bruissements
De l'arbre mon miroir
M'ont tant fait ouïr le chant
De ces enfants nouveaux
Que les mortes couvertes
Des flottants de l'abyme
M'ont approché des portes
Au poète entrouvertes
la-porte
Inscrit(e) : 28 avril 2009Hors-ligne Dernière activité : sept. 01 2009 10:21