Car fleurir n'est en somme qu'une question de rencontre/
d'exposition.
Soi-même révélé et tout est à (re-).
Si tu t'adresses à la nudité qui est en moi,
au chant long comme des cheveux,
tu révèles la graine couvée dans un terreau de violences légères/
plus ou moins admises tout au long de l'enfance -
et après même ?
Ce ne doit pas t'arrêter,
seulement (nous) questionner sur la lumière crue de l'ubac,
nous affleurer.
Objet Numéro 1
Inscrit(e) : 07 mai 2009Hors-ligne Dernière activité : mai 19 2009 05:29