lisli
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Publications sur Toute La Poésie
ta liste d'amis vide
30 juillet 2009 - 08:47
Des visages du monde un rail t'attriste trop...
Ton séisme évident quel écran de laitue !
C'est le lait du passé ! (dividendes, motus !...)
Le jardin potager distille mes devoirs
(S'il dévide en petit le paysage émis)
De te dire : Valise ! et sinon : Tu te calmes
N'évitons jamais plus d'illustrer tes salades.
"Mes radis sont touchés", invalides s'ils t'aiment !
La TV des radins alités à demi !
Rien de triste !... imagine un dessin d'éventail,
Le Thalys ?... mais tant mieux ! ta liste d'amis vide.
espace personnel
26 juillet 2009 - 08:35
Cap à l'Est ! ni pronoms ni vents ne t'environnent.
Verbe haut de bloguer toute personne à sec,
Mais à perte, leçon presque sage entre nous.
Tu circules vers moi, levantine, tu palpes,
En l'espèce... (Elle encor, prône un vaisseau sans gain.)
Sans trahir la soutane, épicé d'un Pernod
Tu parlerais sans boire, en capitaine, errante !
Saigne à pic ton brasier sur la Rose du Souffle !
Dans ton sel, un écran pour lapsus aéré
Qui se passe, erroné plus coupable de voile...
Te baptise Muguette... Espace personnel.
amoureux de Cochise
25 juillet 2009 - 10:48
Où la mouche existant ne conçoit rien d'occis !
Choisissons parmi ceux des naseaux romantiques
(Tes regards déchirant les garçons mous entre eux).
(Chiche ? ok !...) Pour nos ex nous rimons à "galope"!
Mais chacun bien moins mort que Jeffords à tes yeux...
Chaudement désaxés leurs coucous se tripotent :
Mordre ainsi quelle intox ! en danseuse, et chichis...
Curieuse ! (XXX... Sous la tente est le choc,
Et derrière un mur eux, les Apaches sont cois...)
En réserve et si crus, des mamours un peu choux...
D'oublier dans mes bras l'amoureux de Cochise !
un éventail de roues
24 juillet 2009 - 05:30
.
.Ah, dur oui, vraiment dur de t'avouer, mon Nuth,
.[/font]
Que le Français jadis eût le Batave en grippe...
Que l'on voyait lutter Dupont et Van de Put
Jusqu'Ã s'entretuer... (D'y repenser, je flippe...)
Dur, difficile aveu sur ce vélo... Mais chut :
Mon Hollandais volant regarde, je m'agrippe
A ton guidon de fer (la selle est de cuir brut),
Je voudrais tant, mon Nuth, que nous fassions équipe...
Dieu que ton cadre est dur : mon cotillon se fripe !
Ah mon amour mon Nuth, je ne sais pas un type
Qui m'ait tant fait mouiller, qui m'ait plus mise en rût :
Sur ton barreau d'acier mon entrejambe ripe :
Pédale mon vainqueur, pédale jusqu'au but !
Jusqu'Ã ce qu'au lys nu s'accouple la tulipe.
[/font]Ton cocktail de rayons ! j'y suis déjà venue :
Ni toute queue à l'air ni fleur définitive...
Vêtus toi comme lui l'est dans la rue aux Paons,
Dans un cadre vénal, excités tous les deux.
« Attendant ce vélo, vous le cru vous va bien... » .
Il te demande où vendre : « A l'université » !
Déroulé d'un bonheur votre avenir (tu parles...)
Soleil rude, éventré... Ne dis rien, c'est de l'ail.
C'est de l'or de l'argent (vu-compris ? tu renfloues)
Pas de rouille hein titi ? Tu ne veux que du neuf.
Si le cycle vous nuit la dureté vous tienne,
Et l'haleine est huilée, un éventail de roues !
un panier de raisons
23 juillet 2009 - 07:30
Renierait ta palette acoustique... Passons.
Ni Paris ni Munich n'entrerait dans l'osier,
Paresseuse on se voit, Reine, encore un lundi.
Pantalon stretch pourquoi ? Qu'Ã peine un tour de vis
Suffirait à primer l'enceinte des pardons ?...
Des ajoncs dans un an prie un peu tes oreilles ;
Plie un excès de strass - et moi Princesse un âne !
Nulle et nul ! Espacé, sardonique à punir !...
Lui rayonne longtemps ; il dépanne les sourds.
Mais toi non, tu me sers dans la nappe un réveil
Et culotte allemande, un panier de raisons !