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J'avais rencontré d'autres filles
Et elles m'ont fait penser à Armelle
Tout ce que j'ai perdu avant de l'avoir eu
Ce que je n'aurais jamais
Et qui de toute façon était stupide
Mais comme je ne l'aurais jamais
A quand la satiété
Changer???
D'autres désirs.
J'avais rencontré d'autres filles
Et je voulais toujours Armelle
C'était loin mais ça venait en rêve
Jusqu'à ce que ça redevienne un désir
J'ai poussé la choses par lassitude
J'aurais aimé avoir un peu de sentiment vrai
Mais comme d'habitude
J'ai juste joué
Et puis ce n'est plus la même
Armelle
Et moi non plus d'ailleurs
Et puis j'ai compris
Que c'est du chiqué
De la parodie
ça le serait maintenant.
N'empêche que cette nuit j'ai rêvé d'elle.
macka
Inscrit(e) : 11 mai 2009Hors-ligne Dernière activité : août 31 2009 01:48
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Adolescent
22 juin 2009 - 12:28
I don't write poems
10 juin 2009 - 04:30
Je n'écris pas de poèmes.
On peut tout regrouper sous la catégorie du désir
La peur
L'angoisse
La phobie
Ce sont des désirs
Pour citer ce qui me vient.
Je n'écris pas de poèmes.
Demandez vous ce que désire l'auteur.
Vous ne verrez plus de poètes.
Ils cherchent leur valeur
Et bien sûr se bercent d'illusions.
Exposent leur savoir,
Leur déviance,
S'en font honneur,
Ce qu'ils ont fait,
Ils en font un gage d'identité
Par votre biais.
Ils n'écrivent pas plus de poèmes
Que vous et moi.
Je n'écris pas de poèmes.
On peut tout regrouper sous la catégorie du désir
La peur
L'angoisse
La phobie
Ce sont des désirs
Pour citer ce qui me vient.
Je n'écris pas de poèmes.
Demandez vous ce que désire l'auteur.
Vous ne verrez plus de poètes.
Ils cherchent leur valeur
Et bien sûr se bercent d'illusions.
Exposent leur savoir,
Leur déviance,
S'en font honneur,
Ce qu'ils ont fait,
Ils en font un gage d'identité
Par votre biais.
Ils n'écrivent pas plus de poèmes
Que vous et moi.
Je n'écris pas de poèmes.
faire, et vite...
02 juin 2009 - 03:41
Je me jette encore et toujours dans rien
je me sens déçu
Par quoi?
Rien
Je place des couches d'activités stupides
Et faciles
Je me couche, alors j'angoisse
J'ai peur de rien
J'ai opéré la grande suppression des valeurs
retourner les illusions est aisé
Rien ne vaut rien
J'ai tellement peur
J'ai le pouvoir
De haïr qui ne vaut rien
D'aimer qui ne vaut rien
D'espérer
De vouloir
De faire mal
De tuer
De me tuer
Mais toujours ce pouvoir
De cacher
Se cacher
et finir
N'est-ce pas vraiment désirable
Dites moi non
Ne devrait-on pas tous finir?
je me sens déçu
Par quoi?
Rien
Je place des couches d'activités stupides
Et faciles
Je me couche, alors j'angoisse
J'ai peur de rien
J'ai opéré la grande suppression des valeurs
retourner les illusions est aisé
Rien ne vaut rien
J'ai tellement peur
J'ai le pouvoir
De haïr qui ne vaut rien
D'aimer qui ne vaut rien
D'espérer
De vouloir
De faire mal
De tuer
De me tuer
Mais toujours ce pouvoir
De cacher
Se cacher
et finir
N'est-ce pas vraiment désirable
Dites moi non
Ne devrait-on pas tous finir?
toujours rien
28 mai 2009 - 11:46
Je prends une douche pour me sortir la tête du cul
Toujours rien
Je fume un joint pour me l'y remettre
Toujours rien
Je fume un joint pour me l'y remettre
fiction
23 mai 2009 - 01:44
On a toujours besoin de jouer. Naguère aux petits soldats en plastique, on les remplace par ce qu'on veut, pire, par ce qu'on aime. On bombarde d'idées et c'est la fête sur tlp. Des "morves azurées" on tire rancoeur, on fait des armes, et on reproduit les plus grandes guerres, et on fait son camp, et c'est : "moi je suis un jedi!", "-ouais mais c'est moi qui gagne!"
On s'ennuie tout seul, à deux on se bat. Certains voudraient jouer à celui qui a la plus grosse... massue?
Il faut prouver sa valeur, il faut appliquer la vérité à coup de marteau, sinon, ben oui il n'y a rien.
Vite, Vite, je veux du silence. Oh oui je suis nihiliste, mortifère, noir, et chiant. Le voyant n'a pas trouvé sa nouvelle langue, et c'est tout l'homme qui est perdu, avec ses soldats de mots, ses guerres plastiques, sa pleine et jouissive fiction.
On s'ennuie tout seul, à deux on se bat. Certains voudraient jouer à celui qui a la plus grosse... massue?
Il faut prouver sa valeur, il faut appliquer la vérité à coup de marteau, sinon, ben oui il n'y a rien.
Vite, Vite, je veux du silence. Oh oui je suis nihiliste, mortifère, noir, et chiant. Le voyant n'a pas trouvé sa nouvelle langue, et c'est tout l'homme qui est perdu, avec ses soldats de mots, ses guerres plastiques, sa pleine et jouissive fiction.
