Nous aurons des lits remplis de noix creuses,
Des divans douillets comme des lolos
Et de gros bouquets de fleurs anguleuses
Rouleront vers nous d'énormes calots
Sous des édredons de clartés noueuses
Nous échangerons des tickets nouveaux
L'or s'engouffrera dans nos barboteuses
Et nous gémirons tels deux petits veaux
Une nuit d'excuse et d'exactitude
Nous partagerons l'air de l'altitude
Comme un gros nougat fourré de fruits secs
Peu de temps après, un serveur étrange
Débarrassera les derniers biftecks,
Le gouda sans goût, le cake à l'orange
Joren Krelis, poète, photographe, il fut 15 années durant pasteur de l'Eglise Métropolitaine de Gerolt Conducteur (1840-1907)
hirondelle vous le verifiez, votre Baudelaire a beaucoup copié la-dedans
'nuth
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Joren Krelis
29 juillet 2009 - 10:50
Japie Vrouwtje
29 juillet 2009 - 08:26
Japie Vrouwtje a déjà écrit le Baudelaire je t'aime que vous avez copié sans le dire dans votre salon qui s'apelle Notes de route
vent pire
Baudelaire un bol d'air de l'espace aéré nous déglutissons l'aire
il teint même en vert ses cheveux
le derme cancérise
le RER fameux je t'aime Baudelaire
je t'aime Baudelaire est un aveu fameux
c'est un refrain heureux, est un, toi-même éteint ,
est un refrain fumeux, teinte est un fameux thème
homme de teinte étain, bois-le comme un bol d'air
un frein du RER canin
pas plus eux qu'homme moi fameux que moi Femme, eux
les uv
Japie Vrouwtje (né en 1921 à Haarlem, poète, philologue, naturopathe)
je t'aime baudelaire
il a écrit en peinture de plomb sur onze stations de votre régional parisien mais pas pendant de la semaine de
"poëzie in de metro" de Paris et de Montreal non : il ecrit quand il veut et quand il a du mal pour respirer dans le transport souterrain
vous prenez notre sang de Hollande mais vous ne risquez pas de le citer avec votre chauvinisme moqueur dominateur toujours sur de vous
de Fransen zijn huichelaars hipocrytes oui vous
alors je rends la possession het bezit is van zijn werk de son Ã
Japie Vrouwtje est un très bon poète de la jeune generation de Neederland
vent pire
Baudelaire un bol d'air de l'espace aéré nous déglutissons l'aire
il teint même en vert ses cheveux
le derme cancérise
le RER fameux je t'aime Baudelaire
je t'aime Baudelaire est un aveu fameux
c'est un refrain heureux, est un, toi-même éteint ,
est un refrain fumeux, teinte est un fameux thème
homme de teinte étain, bois-le comme un bol d'air
un frein du RER canin
pas plus eux qu'homme moi fameux que moi Femme, eux
les uv
Japie Vrouwtje (né en 1921 à Haarlem, poète, philologue, naturopathe)
je t'aime baudelaire
il a écrit en peinture de plomb sur onze stations de votre régional parisien mais pas pendant de la semaine de
"poëzie in de metro" de Paris et de Montreal non : il ecrit quand il veut et quand il a du mal pour respirer dans le transport souterrain
vous prenez notre sang de Hollande mais vous ne risquez pas de le citer avec votre chauvinisme moqueur dominateur toujours sur de vous
de Fransen zijn huichelaars hipocrytes oui vous
alors je rends la possession het bezit is van zijn werk de son Ã
Japie Vrouwtje est un très bon poète de la jeune generation de Neederland
Flying Dutchman
25 juillet 2009 - 08:19
Dans la modernité de notre poésie de Neederland
nous aimons beaucoup aplatir les légendes.
Le but n'est pas la destruction de rationalité extrème,
il est d'y voir clairement le passé
dans ses apports encombrants.
C'est par exemple le travail de

Patrijs Roodorst
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . jeune poète né en 1973, bibliothécaire,
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . médiateur littéraire auprès du Stichting Europees Jeugd Parlement à Utrecht.
L'analyse de Patrijs Roodorst rajeunit, grace à sa concise efficace, l'une de nos plus anciennes récits :
"Selon d'anciennes chroniques (1680), un capitaine hollandais du nom de Hendrick Van der Decken, partit d'Amsterdam et fit voile vers le comptoir des Indes orientales néerlandaises établi à Batavia. Le capitaine était un homme courageux, voire intrépide. Les scrupules ne l'étouffaient point, mais c'était un excellent marin.
Tout se passa bien jusqu'au moment où, non loin du cap de Bonne Espérance, un puissant coup de vent déchiqueta les voiles et détruisit le gouvernail. Les jours et les semaines passèrent, durant lesquelles le navire dériva, en proie à la houle et un vent violent qui l'empêchait de passer le Cap. Het was echt crap c'était vraiment la merde. Selon la légende, ces échecs rendirent Van der Decken de plus en plus furieux.
Profitant de la situation dramatique du capitaine, le diable (d'autres disent : le malin, d'autres : le démon) lui apparut en rêve. Ce matin là , il lui souffla l'idée de lancer à Dieu le défi de l'empêcher de doubler le Cap. C'est ainsi que dans un excès de rage, le Hollandais suivit le conseil de Satan.
Hors de lui, il fit cet effroyable serment, et cria, de façon à couvrir les fracas de la tempête:
"Ma route étant tracée et ma course décidée, je défie la puissance de Dieu de les entraver. Et même le Suppôt de l'Enfer n'éveillera pas ma frayeur, dussé-je naviguer jusqu'au jour du jugement."
Le capitaine dut promptement châtié. L'ange du Seigneur condamna Van der Decken à errer sur les mers jusqu'à ce que la trompette du jugement dernier vienne déchirer les cieux.

Mon opinion est dit zijn leugens sont des mensonges ! mais ce n'est pas certain ; c'est triste que l'humain se bloque l'esprit sur de ça."
nous aimons beaucoup aplatir les légendes.
Le but n'est pas la destruction de rationalité extrème,
il est d'y voir clairement le passé
dans ses apports encombrants.
C'est par exemple le travail de

Patrijs Roodorst
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . jeune poète né en 1973, bibliothécaire,
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . médiateur littéraire auprès du Stichting Europees Jeugd Parlement à Utrecht.
L'analyse de Patrijs Roodorst rajeunit, grace à sa concise efficace, l'une de nos plus anciennes récits :
"Selon d'anciennes chroniques (1680), un capitaine hollandais du nom de Hendrick Van der Decken, partit d'Amsterdam et fit voile vers le comptoir des Indes orientales néerlandaises établi à Batavia. Le capitaine était un homme courageux, voire intrépide. Les scrupules ne l'étouffaient point, mais c'était un excellent marin.
Tout se passa bien jusqu'au moment où, non loin du cap de Bonne Espérance, un puissant coup de vent déchiqueta les voiles et détruisit le gouvernail. Les jours et les semaines passèrent, durant lesquelles le navire dériva, en proie à la houle et un vent violent qui l'empêchait de passer le Cap. Het was echt crap c'était vraiment la merde. Selon la légende, ces échecs rendirent Van der Decken de plus en plus furieux.
Profitant de la situation dramatique du capitaine, le diable (d'autres disent : le malin, d'autres : le démon) lui apparut en rêve. Ce matin là , il lui souffla l'idée de lancer à Dieu le défi de l'empêcher de doubler le Cap. C'est ainsi que dans un excès de rage, le Hollandais suivit le conseil de Satan.
Hors de lui, il fit cet effroyable serment, et cria, de façon à couvrir les fracas de la tempête:
"Ma route étant tracée et ma course décidée, je défie la puissance de Dieu de les entraver. Et même le Suppôt de l'Enfer n'éveillera pas ma frayeur, dussé-je naviguer jusqu'au jour du jugement."
Le capitaine dut promptement châtié. L'ange du Seigneur condamna Van der Decken à errer sur les mers jusqu'à ce que la trompette du jugement dernier vienne déchirer les cieux.

Mon opinion est dit zijn leugens sont des mensonges ! mais ce n'est pas certain ; c'est triste que l'humain se bloque l'esprit sur de ça."
Tolhuys
10 juillet 2009 - 09:41
ce n'est pas toujours par économie
que le peigne succède à la brosse à cheveux
ni que la roue de bicycle
a moins de rayons que le soleil
donc,
tu me prêtes ton sèche-cheveux électrique
sans discuter
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Oscar Tolhuys, Aphorisms
que le peigne succède à la brosse à cheveux
ni que la roue de bicycle
a moins de rayons que le soleil
donc,
tu me prêtes ton sèche-cheveux électrique
sans discuter
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Oscar Tolhuys, Aphorisms
je t'excuse
07 juillet 2009 - 01:16
sous le toit sur le toit
sous le ciel sur l'eau froide
sur le doigt sous l'éden
sur l'exquis sur du pain
sous l'amour sur la main
je t'excuse
sur le coeur sous l'espace
sous les champs sous les gens
sur les faux exigus
sous les vrais frais très larges
je l'excuse
sur du blé sous de l'âme
sur des jeans sous des os
sur l'exact sous le faux
sur l'instant sous l'oignon
je l'excuse
sur le fil sous le feu
sous la faim sur les grappes
sur les petits noyaux
sous les noyaux énormes
et les moyens calibres
je l'excuse
sur du léger du lourd
sous du bistre sur tout
sur l'ibis sous l'erreur
sous l'herbier sous l'échoppe
sous l'imper sur le golf
je l'excuse
sur l'expert sous des friches
sous du gras sur du long
sous les films sur les films
sur l'été sur le moche
sur le beau sous le beau
je l'excuse
sur du neuf sous des oeufs
sous les creux sur les branches
sur les ronds sur les dons
sous les noms sous les bonds
je l'excuse
sur les flots sous les bras
sur les droits sur le dé
sous du dur sous du glaive
sous l'éveil sur les bouts
je l'excuse
sur le toit sous le toi
sous la mer sur le vide
sous le seuil sous dB
je t'excuse
surdité
(Bert Wouten né en 1914 a écrit ce poème très vite pour l'Institut Louis Beethoven de Zwolle où l'on soigne les malentendant)
(Bert Wouten poète, philosophe, humoriste spécialiste aussi de poèmes souriant de vélocyclisme)
sous le ciel sur l'eau froide
sur le doigt sous l'éden
sur l'exquis sur du pain
sous l'amour sur la main
je t'excuse
sur le coeur sous l'espace
sous les champs sous les gens
sur les faux exigus
sous les vrais frais très larges
je l'excuse
sur du blé sous de l'âme
sur des jeans sous des os
sur l'exact sous le faux
sur l'instant sous l'oignon
je l'excuse
sur le fil sous le feu
sous la faim sur les grappes
sur les petits noyaux
sous les noyaux énormes
et les moyens calibres
je l'excuse
sur du léger du lourd
sous du bistre sur tout
sur l'ibis sous l'erreur
sous l'herbier sous l'échoppe
sous l'imper sur le golf
je l'excuse
sur l'expert sous des friches
sous du gras sur du long
sous les films sur les films
sur l'été sur le moche
sur le beau sous le beau
je l'excuse
sur du neuf sous des oeufs
sous les creux sur les branches
sur les ronds sur les dons
sous les noms sous les bonds
je l'excuse
sur les flots sous les bras
sur les droits sur le dé
sous du dur sous du glaive
sous l'éveil sur les bouts
je l'excuse
sur le toit sous le toi
sous la mer sur le vide
sous le seuil sous dB
je t'excuse
surdité
(Bert Wouten né en 1914 a écrit ce poème très vite pour l'Institut Louis Beethoven de Zwolle où l'on soigne les malentendant)
(Bert Wouten poète, philosophe, humoriste spécialiste aussi de poèmes souriant de vélocyclisme)