Ras Ali

Guerre sainte

Jihad, il n'y a pas de guerre sainte
Qui fasse couler le sang
De son frère étranger, ennemi
Jihad, il n'y a pas plus grand ennemi
Que soi même
Jihad, il n'y a pas de guerre sainte
Qui tue les enfants, innocents
Jihad, pour nous amener à confondre
Islam et terrorisme
Jihad, l'islam qui tue au nom d'Allah ?
Jihad, aux mécréants le seul châtiment de Dieu
Qu'aucune main ne peux exécuter
Jihad, il n'y a pas de guerre sainte
Qui fasse couler le sang
Jihad, lorsque l'on entend aujourd'hui on imagine
Des soldats armés, kamikazes et martyrs
Jihad, lorsque l'on entend aujourd'hui on croit
que ça vient du mot G.I.A Groupe Islamiste armée

Jihad, il y a trop de confusion car tant d’ignorant
Jihad, il n'y a pas de guerre sainte
Qui fasse couler le sang
Jihad, est le combat contre soi-même
Et nos démons
Jihad, parce qu'on croit pouvoir ignorer ce
Que nous dicte notre conscience
Jihad, est le combat à mener
Il n'y a pas de guerre sainte
Qui fasse couler le sang
Jihad, il n'y a pas de guerre sainte
Qui porte ton nom.

R.Ali

Salem (paix) à tous et bon jihad

Karukera

Karukera, tu as vu libérer tes esclaves

Des vastes champs de sucres vers l’intérieur des terres

Ta liberté m’a accueilli à bras ouverts

Moi l’étranger libre, insouciant et sans entraves

Loin des miens et des milliers de coups de rames

Dans l’océan, ont marqués pour la vie mon âme.

Karukera, lorsque j’évoque ton nom

Je revois ces graines qui ornaient mon cou

De ces arbres joyeux nichés de Fou-fou

Au parfum si frais de mangue et de citron.

Et sous ton soleil ardent j’arpentais

Les chemins qui mènent à Zion.

Karukera, tu m’as pris dans tes bras,

Gardé loin de la conformité de ce monde

Et de ma liberté sacrifiée

Pour préserver ma foi que dans mon cœur tu sondes

L’Amour de ce pays où tes ancêtres vivent toujours.

Ô descendant des Arawaks privé de ton héritage

Et la servitude déguisée, je découvrais sur mon passage

L’éclat terni de ta beauté que m’offrait ton paysage.

De ce combat permanent, quête de liberté,

Venant de tes mangroves des voies qui s’élevaient

Comme une révolte douce, criant : « Awa béké! »

Guidé sur mon chemin par les chants Rasta

Et les tambours d’Alpha qui résonnent encore

Accompagné par les signes de ma Bhagavad-Gîta.



…à Aimé CESAIRE.

R.Ali

Prière de St François d'Assise!

Seigneur,

Faites de moi un instrument de votre paix.

Là où est la haine, que je mette l'amour.
Là où est l'offense, que je mette le pardon.
Là où est la discorde, que je mette l'union.
Là où est l'erreur, que je mette la vérité.
Là où est le doute, que je mette la foi.
Là où est le désespoir, que je mette l'espérance.
Là où sont les ténèbres, que je mette la lumière.
Là où est la tristesse, que je mette la joie.

Faites que je ne cherche pas tant à être consolé que de consoler,
D'être compris que de comprendre.
D'être aimé que d'aimer.

Parce que
C'est en donnant que l'on reçoit,
C'est en s'oubliant soi-même qu'on se retrouve
C'est en pardonnant qu'on obtient le pardon.
C'est en mourant que l'on ressuscite à l'éternelle vie.

Saint François

Guerre sainte

Jihad, il n'y a pas de guerre sainte
Qui fasse couler le sang
De son frère étranger, ennemi
Jihad, il n'y a pas plus grand ennemi
Que soi même
Jihad, il n'y a pas de guerre sainte
Qui tue les enfants, innocents
Jihad, pour nous amener à confondre
Islam et terrorisme
Jihad, l'islam qui tue au nom d'Allah ?
Jihad, aux mécréants le seul châtiment de Dieu
Qu'aucune main ne peux exécuter
Jihad, il n'y a pas de guerre sainte
Qui fasse couler le sang
Jihad, lorsque l'on entend aujourd'hui on imagine
Des soldats armés, kamikazes et martyrs
Jihad, lorsque l'on entend aujourd'hui on croit
que ça vient du mot G.I.A Groupe Islamiste armée

Jihad, il y a trop de confusion car tant d’ignorant
Jihad, il n'y a pas de guerre sainte
Qui fasse couler le sang
Jihad, est le combat contre soi-même
Et nos démons
Jihad, parce qu'on croit pouvoir ignorer ce
Que nous dicte notre conscience
Jihad, est le combat à mener
Il n'y a pas de guerre sainte
Qui fasse couler le sang
Jihad, il n'y a pas de guerre sainte
Qui porte ton nom.

R.Ali

Salem (paix) à tous et bon jihad

Karukera

Karukera, tu as vu libérer tes esclaves

Des vastes champs de sucres vers l’intérieur des terres

Ta liberté m’a accueilli à bras ouverts

Moi l’étranger libre, insouciant et sans entraves

Loin des miens et des milliers de coups de rames

Dans l’océan, ont marqués pour la vie mon âme.

Karukera, lorsque j’évoque ton nom

Je revois ces graines qui ornaient mon cou

De ces arbres joyeux nichés de Fou-fou

Au parfum si frais de mangue et de citron.

Et sous ton soleil ardent j’arpentais

Les chemins qui mènent à Zion.

Karukera, tu m’as pris dans tes bras,

Gardé loin de la conformité de ce monde

Et de ma liberté sacrifiée

Pour préserver ma foi que dans mon cœur tu sondes

L’Amour de ce pays où tes ancêtres vivent toujours.

Ô descendant des Arawaks privé de ton héritage

Et la servitude déguisée, je découvrais sur mon passage

L’éclat terni de ta beauté que m’offrait ton paysage.

De ce combat permanent, quête de liberté,

Venant de tes mangroves des voies qui s’élevaient

Comme une révolte douce, criant : « Awa béké! »

Guidé sur mon chemin par les chants Rasta

Et les tambours d’Alpha qui résonnent encore

Accompagné par les signes de ma Bhagavad-Gîta.



…à Aimé CESAIRE.

R.Ali