Voici le procés de ceux qui ont trop penser
Ils ont trop parler et sa les a dérangé
Avec leurs mauvaise idée de tout controler
Ils ont même essayer de réguler la pensé
Mais des chose comme sa ne peut pas s'oter
Si comme un supporter a chaque avancer tu crié
Tu resterai mué a tout jamais
Car les présidents aiment la sérénité
Un matin tu t'est levé
Et la milice t'a emmené
La raison : tu a crié vive la liberté
Ils t'ont éxecuter
Avec d'autre personne que la pensé a tué
Tu a juste dit au dictateur
De retourner ou il est né
Mais tu a oublié que dictateur rime avec tueur
Et que lui n'a pas peur d'aller au dessus des horreur
Juste pour son petit bonheur
Mais c'est surtout lui qui a peur
Qu'on énumére son musée des horreurs
le vengeur pas masqué
Inscrit(e) : 04 juin 2009Hors-ligne Dernière activité : juin 05 2009 08:41