Illusion
Parce que sous cette mer de flocons, posés là ,
Se cache un lac fleuri de lilas
Parce que sous ce bouclier guerrier,
Se cache un coueir blessé
Parce que sous ce visage ridé,
Se cache une jeunesse passée
Je suis aveugle...
Je ferme les yeux...
Seul le souffle du vent reste éternel,
Seuls les battements d'un coeur sont sincères,
Seul ce que je ressens semble réel,
Seul l'invisible m'est cher...
pluie dété
Inscrit(e) : 20 juin 2009Hors-ligne Dernière activité : août 09 2009 05:50
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20 juin 2009 - 14:17
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Illusion
05 août 2009 - 07:54
Silence...
03 août 2009 - 04:52
Silence... Silence...
Idéfinie absence...
Comme le souffle d'un vent monotone,
Peut-être d'automne.
Connu, et pourtant méconnu.
Comme une fatalité
Que l'on attend,
Que l'on sait,...
Mais qu'on ne peut contrôler.
Un moment de décalage, de paralysie.
Un silence qui envahi
Cette tempête des plus violente,
Mais dont personne ne soupçonne l'existence.
Secrets transparents, invisibles,
Pour les coeurs insensibles...
Idéfinie absence...
Comme le souffle d'un vent monotone,
Peut-être d'automne.
Connu, et pourtant méconnu.
Comme une fatalité
Que l'on attend,
Que l'on sait,...
Mais qu'on ne peut contrôler.
Un moment de décalage, de paralysie.
Un silence qui envahi
Cette tempête des plus violente,
Mais dont personne ne soupçonne l'existence.
Secrets transparents, invisibles,
Pour les coeurs insensibles...
Porté par le vent, caressé par le soleil
03 août 2009 - 03:55
Porté par le Vent, caressé par le Soleil
Un matin, une graine,
Portée par le Vent, caressé par le Soleil
Germa, un jour de printemps.
Ce jour de printemps,
Elle grandit et devint Dame Rose
Endormie la nuit et le jour éclose.
Un matin, un oiseau
Porté par le Vent, caressé par le Soleil
S'envola pour la première fois, un jour d'été.
Ce jour d'été,
Il rencontra Dame Rose, admirant sa beauté
Lui laissa le Vent la porter, le Soleil la caresser.
Un matin, un enfant
Porté par le vent, caressé par le Soleil
Ouvrit les yeux sur Mère Nature, un jour d'automne.
Ce jour d'automne,
Il devint Homme et oublia la portée du Vent, la caresse du Soleil
Rencontrant l'ioseau, il ne l'entendit plus, l'apprivoisa et lui vola sa liberté ;
Regardant Dame Rose, il l'a cueille et lui vola sa beauté.
C'est ainsi que depuis ce temps,
Les jours d'automnes,
Les fleurs flanent en mémoire de Dame Rose
Tandis que les oiseaux chantent de tout leur coeur
Pour que l'Homme,
Aveuglé par son pouvoir,
Ré-ouvre les yeux comme un enfant
Et soit à nouveau : porté par le vent, caressé par le Soleil...
Un matin, une graine,
Portée par le Vent, caressé par le Soleil
Germa, un jour de printemps.
Ce jour de printemps,
Elle grandit et devint Dame Rose
Endormie la nuit et le jour éclose.
Un matin, un oiseau
Porté par le Vent, caressé par le Soleil
S'envola pour la première fois, un jour d'été.
Ce jour d'été,
Il rencontra Dame Rose, admirant sa beauté
Lui laissa le Vent la porter, le Soleil la caresser.
Un matin, un enfant
Porté par le vent, caressé par le Soleil
Ouvrit les yeux sur Mère Nature, un jour d'automne.
Ce jour d'automne,
Il devint Homme et oublia la portée du Vent, la caresse du Soleil
Rencontrant l'ioseau, il ne l'entendit plus, l'apprivoisa et lui vola sa liberté ;
Regardant Dame Rose, il l'a cueille et lui vola sa beauté.
C'est ainsi que depuis ce temps,
Les jours d'automnes,
Les fleurs flanent en mémoire de Dame Rose
Tandis que les oiseaux chantent de tout leur coeur
Pour que l'Homme,
Aveuglé par son pouvoir,
Ré-ouvre les yeux comme un enfant
Et soit à nouveau : porté par le vent, caressé par le Soleil...
Tu ne le sais pas...
16 juillet 2009 - 09:21
Tu ne le sais pas...
Un mal en mon âme endolorie,
Recherche sérénité, utopie...
Tout tremble en mon être blessé,
Pensées saccadées, saccagées.
Puis, le temps ralentis comme usé,
Un calme en mon âme fatiguée,
Envahi de silences, d'absences.
En mon être un vide, une retenu...
Mon esprit se dissipe
Il quitte alors mon corps
Qui peu à peu s'endort
Tel son seul réconfort...
Mon esprit se dissipe
Oui, il s'évanoui
Dans l'immensité de la nuit,
A travers ce monde infini...
Il te rejoint
Dans tes peines
Sèche tes larmes
Tu ne le sais pas...
Dans ton sommeil
Te serre dans ses bras
Tu ne le sais pas.
Un mal en mon âme endolorie,
Recherche sérénité, utopie...
Tout tremble en mon être blessé,
Pensées saccadées, saccagées.
Puis, le temps ralentis comme usé,
Un calme en mon âme fatiguée,
Envahi de silences, d'absences.
En mon être un vide, une retenu...
Mon esprit se dissipe
Il quitte alors mon corps
Qui peu à peu s'endort
Tel son seul réconfort...
Mon esprit se dissipe
Oui, il s'évanoui
Dans l'immensité de la nuit,
A travers ce monde infini...
Il te rejoint
Dans tes peines
Sèche tes larmes
Tu ne le sais pas...
Dans ton sommeil
Te serre dans ses bras
Tu ne le sais pas.
Mélodie
16 juillet 2009 - 09:07
Quelques notes posées,
Quelques mots envolés.
L'harmonie d'une mélodie,
Fait voyager mon esprit.
Entre joie, allégresse
Entre fête et tristesse,
Ton chant dont toutes les couleurs
Inondent ma tête et mon coeur
Emplit la Terre entière,
D'un rayon de lumière.
Quelques mots envolés.
L'harmonie d'une mélodie,
Fait voyager mon esprit.
Entre joie, allégresse
Entre fête et tristesse,
Ton chant dont toutes les couleurs
Inondent ma tête et mon coeur
Emplit la Terre entière,
D'un rayon de lumière.