Chers poètes
pour ceux qui vont quitter les lieux, avant que la parole nous soit retirée, pourrions faire un point ensemble sur notre désir de nous retrouver...ailleurs.
Quelles sont vos propositions....où pourrions nous nous retrouver, connaissez vous d'autres sites interactifs.
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Publications sur Toute La Poésie
Pragmatisme : où pourrions nous nous rejoindre ?
07 septembre 2009 - 10:01
C'est ma prière....
03 septembre 2009 - 08:50
Notre chef qui êtes odieux,
que le travail soit léger,
que notre volonté soit faite
au bureau comme à la maison
donne nous aujourd'hui un jour de RTT,
pardonne nous nos absences
comme nous pardonnons aussi,
à ceux qui nous font travailler.
Ne nous soumets pas aux heures supplémentaires,
mais délivre nous du stress.
Car c'est à toi qu'appartient le pouvoir,
d'augmenter notre salaire et nos jours de congés
Tout en diminuant notre travail
Au nom du père
du fisc
et du saint bénéficie...
Amène
que le travail soit léger,
que notre volonté soit faite
au bureau comme à la maison
donne nous aujourd'hui un jour de RTT,
pardonne nous nos absences
comme nous pardonnons aussi,
à ceux qui nous font travailler.
Ne nous soumets pas aux heures supplémentaires,
mais délivre nous du stress.
Car c'est à toi qu'appartient le pouvoir,
d'augmenter notre salaire et nos jours de congés
Tout en diminuant notre travail
Au nom du père
du fisc
et du saint bénéficie...
Amène
Un soupir
03 septembre 2009 - 08:27
Ma douce flamme
Entends-tu ce cœur qui appelle
Parcours-tu avec moi la côte
Qui unit mes goémons à ton eau
Ma douce terre
A l’unisson d’une vague
Arrimée à ton port
Je vogue aux voiles de ton âme
La mort attend
Jamais ne prendra
Nos sphères délicates
Quelle soit douce
Cette étrangère
Ce fond de cale
Ce rien du tout
Perçois-tu mes rêves
Ensevelis de soupirs
Mon étincelle –
poser mes mains sur tes yeux
A jamais -
Mon renoncement
Ma solitude
Reconnais-tu ma voix
Sourde et grave qui surgit….inconnue
Mes mots qui sombrent et se taisent
Tiens,
La pluie inonde
Je suis dessous
Une détresse vagabonde
La lame emportée me nargue…encore
en attentes profondes
L’arbre me porte
Je suis perdue
Ton corps virevolte aux quatre coins du monde
Ether….reste à penser
Il émane de la mer
Comme une étoile abandonnée au fond des océans
Vois-tu la mer se pendre à mon cou
Minauder la maille
Les poissons -
frétiller
Le large du vent sillonne l’azur
Le crépuscule de nos pensées anoblit le temps
Regarde, la douceur de ta jeunesse inventée
Les larmes coulent des rires noyés
Ma douce Terre
Demain tu seras vainque
Restera mon ombre
Couchée à tes côtés
Ne point vaciller
Se fondre,
s’amoindrir,
Aux aguets
d'un amour naissant
…
Entends-tu ce cœur qui appelle
Parcours-tu avec moi la côte
Qui unit mes goémons à ton eau
Ma douce terre
A l’unisson d’une vague
Arrimée à ton port
Je vogue aux voiles de ton âme
La mort attend
Jamais ne prendra
Nos sphères délicates
Quelle soit douce
Cette étrangère
Ce fond de cale
Ce rien du tout
Perçois-tu mes rêves
Ensevelis de soupirs
Mon étincelle –
poser mes mains sur tes yeux
A jamais -
Mon renoncement
Ma solitude
Reconnais-tu ma voix
Sourde et grave qui surgit….inconnue
Mes mots qui sombrent et se taisent
Tiens,
La pluie inonde
Je suis dessous
Une détresse vagabonde
La lame emportée me nargue…encore
en attentes profondes
L’arbre me porte
Je suis perdue
Ton corps virevolte aux quatre coins du monde
Ether….reste à penser
Il émane de la mer
Comme une étoile abandonnée au fond des océans
Vois-tu la mer se pendre à mon cou
Minauder la maille
Les poissons -
frétiller
Le large du vent sillonne l’azur
Le crépuscule de nos pensées anoblit le temps
Regarde, la douceur de ta jeunesse inventée
Les larmes coulent des rires noyés
Ma douce Terre
Demain tu seras vainque
Restera mon ombre
Couchée à tes côtés
Ne point vaciller
Se fondre,
s’amoindrir,
Aux aguets
d'un amour naissant
…
Une question si vous plait
03 septembre 2009 - 07:43
Je viens de me réinscrire, quelqu'un avait laissé une porte ouverte...mais j'ai le droit de causer par contre je ne reçois pas les réponses apportés par mes collègues....est ce un nouveau jeu de l'adm...?
Une explication svp
Une explication svp
fenêtres sur...
31 août 2009 - 08:03
Assise au murmure de la rivière
Elle dessine la pluie qui gronde au chêne vert
Ici
Le soleil en brise teinte d’eau claire
La vie aux multiples lumières
Le regard se tourne
Dense comme feuilles sous la branche
Aux alentours
Il plonge
Aux mystères des forêts
Aux lacs qui s’étirent
Aux montagnes ciselées
La terre de mille lieux
Unique en sa richesse
Conte la beauté en sa chair précieuse
L’instant décroît, fébrile au crépuscule
Elle entend sa voix
Boit sa sève
Se couvre de rosée
Emportant avec elle ses futiles pensées
Assise au souffle de la terre
Elle accepte le bruissement
une vérité
Elle dessine la pluie qui gronde au chêne vert
Ici
Le soleil en brise teinte d’eau claire
La vie aux multiples lumières
Le regard se tourne
Dense comme feuilles sous la branche
Aux alentours
Il plonge
Aux mystères des forêts
Aux lacs qui s’étirent
Aux montagnes ciselées
La terre de mille lieux
Unique en sa richesse
Conte la beauté en sa chair précieuse
L’instant décroît, fébrile au crépuscule
Elle entend sa voix
Boit sa sève
Se couvre de rosée
Emportant avec elle ses futiles pensées
Assise au souffle de la terre
Elle accepte le bruissement
une vérité