Aller au contenu

TRYCIA

Inscrit(e) : 12 nov. 2009
Hors-ligne Dernière activité : Privé

Messages que j'ai posté

Dans la publication : Médias Noche

18 juillet 2013 - 09:30

Il suffit d'un rien,

quelques mots

 

bravissimo

Dans la publication : A la faveur de la plume

18 juillet 2013 - 09:15

Bonjour,

 

un texte où chacun trouve matière en ces mots

à l'impact saisissant.

Dans la publication : SA SAVEUR

07 mars 2011 - 11:01

Image IPB

dans mes rêves insomniaques j'ai épousé une femme
une douce femme au coeur bleu
elle est aussi belle que toutes les autres femmes
pourtant, elle seule a la valeur et la saveur
d'un bon verre d'eau fraiche au coeur du désert

bibi 2011




bonsoir Bibi,

la où les mots perdurent à l'infini!

Dans la publication : NUIT ET JOUR

22 septembre 2010 - 07:15

j'aime la forme de vos deux poèmes
comme reflétant l'un sur l'autre
au centre notre imaginaire qui puise l'in saisi.

Dans la publication : GUEULES NOIRES

22 septembre 2010 - 07:00



Les souvenirs d’enfance où je me complais
Se situent prés de hauts chevalets
Géants d’acier dominants l’ombre du soir
J’osais quelques rêves colorés dans trop de noir

Le mineur crachait se libérant des scories
Aux aguets un mortel vent de silicose soufflait
Les crasses des terrils décoraient
comme des montagnes l’horizon sali
L’eau de rinçage souillée de charbon
Fuyait dans la nature après son exploitation.

Père, peu de mots pour beaucoup de tendresse.
Après son labeur dans ses mains épaisses
Je venais cueillir ses battements de cœur.
Inutile discourt pour ces instantes douceurs.

Des veines de la terre s’extrayaient les hommes
Gueules noires grimées anthracites
Ruisselants, ces monochromes fantômes
trimaient à extraire la sombre pépite.
Coups de pics pour coup de grisou
Souffrance et deuil au fond du trou.

Ensemble ils œuvraient dans la taille
Et réunissaient les volontés dans le drame
Encore unis dans la révolte
Ils luttaient pour une juste récolte.

L’envahissant charbon sorti des fosses s’étalait.
En vrac sur le carreau il s’installait
Dans les pores de l’humaine peau il gravait son Nom
Pénétrant les esprits il imposait ses maux.
Coke en stock il tournait rond dans le coron
Et paré de souvenirs il vient troubler notre repos

Il me reste de ces temps anciens
L’amour des hommes de biens
L’amour de l’œuvre bien faite
Et la solidarité pas contrefaite.


l me reste de ces temps anciens
L’amour des hommes de biens
L’amour de l’œuvre bien faite
Et la solidarité pas contrefaite.


Ce passage entre autre sur lequel je
m'arrête avec un petit plus de tendresse