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Edmond Nicolle

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Hors-ligne Dernière activité : nov. 05 2011 05:56

Publications sur Toute La Poésie

Ma liberté

02 novembre 2011 - 07:01

Ma liberté

Ma liberté,

Saura un ailleurs,

Sur une terre de mes ancêtres,

Ceux d’un ciel clair la résurrection,

Les amis disparus que j’ai aimés.

Mes souvenirs,

J’écris des mots,

Pour ceux qui ne sont plus là,

A celui qui a pris la place d’un vide,

Une nostalgie sur les lignes.

A celle qui m’a aimé,

Disparue de ma vie,

Sur des chemins brouillés,

Qu’un diable a emporté,

D’un amour surréaliste.

Une foi qui s’accroche à moi,

Des mots éternels d’un Dieu,

D’un ciel qui m’attend à l’heure,

Le héros des ombres disparues,

Mon envoler dans un ciel de la nuit.

J’écris pour ne pas oublier,

Le temps qu’il reste encore,

Qu’un Dieu aura fécondé,

Le sens d’une vie en moi,

Celui d’avoir donné un change en l’amour.

Une créature qui m’aura aimé sans faille.

Donc je ne suis pas encore près pour elle,

Pas près pour lui à disparaitre de ma croute,

Je continuerais à écrire le temps qui me reste,

De belles pages inspirées d’une prose.

NICOLLE Edmond le 2.11.11

http://poemesauxtraversdutemps.blogspot.com/

Ensemble nous marcherons

01 novembre 2011 - 06:59

Ensemble nous marcherons

Nous marcherons le long des mers,

Qu’un Dieu nous offrira sur notre chemin,

Notre vie ensemble par monts et par veaux,

Un idéal d’une enfant à son père,

D’un amour en cohérence,

Ensemble nous marcherons en silence,

Sur les pas féerique d’une muse.

Je jalouse ta poésie inventive à demain,

Le sang d’une mure dans tes veines,

Ton regard déjà au voyage d’un sentiment,

Ta sérénité sur les lignes d’un papier,

Une recherche d’un monde féerique,

Ensemble nous marcherons en silence,

Sur les pas féerique d’une muse.

Tu es ma provocation de mes lignes,

Ma vie te sera offerte sur mes lignes,

Entre tes mains, mes proses d’une vie,

Mes souvenirs comme de l’or de t’avoir aimé,

Un livre ouvert à ton chevet de tes nuits,

Ensemble nous marcherons en silence,

Sur les pas féerique d’une muse.

Mon enfant, ma fille,

Sur tes pas je te suivrais en silence,

Nos mains ensemble sur les chemins,

D’un Dieu notre compagnon de route,

Ici où ailleurs notre destin entre ses mains,

Ensemble nous marcherons en silence,

Sur les pas féerique d’une muse.

NICOLLE Edmond le 1.11.11 n° 1200

http://poemesauxtraversdutemps.wordpress.com/

Assouvir de désirs

31 octobre 2011 - 06:08

Assouvir de désirs

Assouvir de désirs,

Qu’un Dieu m’aura donné,

Une naissance à la fleur,

Mon corps a tous ces états,

Qu’une lèvre aura humecté,

Le sens de l’amour.

Comme un cheval au galop,

Je m’y fis prendre à plus d’une fois,

A de désirs imaginés,

Entre poésie et rêve,

A de sons qui n’existent pas,

Qu’une plume à son trajet.

Je voudrais tant aimer encore,

A cette fleur, ma plume,

Ecrire ma réalité au sens propre,

Aimer ce que dieu m’offre à sa nature,

Assouvir à des désirs incontrôlables,

Qu’un diable aura visité un jour à ma plume.

Je suis ce poète,

Celui qui écrit avec une plume,

Dans le silence de la nuit,

Mes silences à tant d’année passée,

À écrire aux saisons qui passent,

L’âme qui me trahit aux lettres d’un diable.

Je ne sais pas le temps qui me reste,

Peut-être d’un enfant qui grandi encore,

Qui ne saura jamais cette fin,

Aimer pour raison à vous dire mes sens,

Celui de vous aimer avec ma plume,

Entre rêve et réalité d’un papier sans fin.

NICOLLE Edmond le 31.10.11

http://poemesauxtraversdutemps.wordpress.com/

Je t'aime toi mon inconnue

27 octobre 2011 - 05:45

Je t’aime toi mon inconnue

Sur des lignes de poésie ont s’invente,

Des formules plus hautes de proses,

De l’extrême pensé de s’aimer,

Je joins mes lignes aux tiennes,

D’une amie, d’une amante,

Je t’aime toi mon inconnue,

Celle que je ne connais pas.

Loin de moi mes premiers départs,

Mes premiers amours déjà disparus,

Sur des lignes du passé,

J’ai gardé encore une touche pour toi,

D’une amie, d’une amante,

Je t’aime toi, mon inconnue,

Celle que je ne connais pas.

Celle de t’écrire ce qu’il me reste,

Ce que demain ont s’inventera des lignes,

Une nuit sans s’être jamais connus,

Des nuits à s’écrire comme des prières à Dieu,

D’une amie, d’une amante,

Je t’aime toi, mon inconnue,

Celle que je ne connais pas.

J’écris pour mon inconnue de la poésie,

Celle qui partage mes sentiments à la prose,

L’amour d’aimer à s’écrire sur des feuilles,

Qu’un jour peut-être nous serons mariés sur des lignes,

D’une amie, d’une amante,

Je t’aime toi, mon inconnue,

Celle que je ne connais pas.

Ma vie est sur mes lignes,

Le témoin de mes pensés,

Le témoin de mes nuits à écrire,

D’une prose à t’aimer toujours,

D’une amie, d’amante,

Je t’aime toi, mon inconnue,

Celle que je ne connais pas.

NICOLLE Edmond le 27.10.11

http://merveillespoetiques.forumperso.com/forum

Souvenirs

24 octobre 2011 - 05:51

Souvenirs

Souvenirs,

Tu me laces,

Tu m’emprisonnes,

De souvenirs revenants,

J’en n’ai oublié mon ère,

L’amour toujours aux aiguës.

Les pages s’envolent,

Je ne me rappelle-plus,

Les sens de mes mots,

C’est écrit pour un jour,

Effacent un jour suivant.

J’ai peur, j’écris,

Peut-être qu’un jour,

Je me relirai sur des pages,

Par un souffle d’une pause,

Qu’un Dieu aura compassion.

J’ai tellement pleuré,

Par la valeur des mots,

J’en n’ai oublié les sens,

J’écris pour ne pas oublier,

Ce qu’il me reste d’indulgent.

Peut-être me reliras-tu,

Toi le témoin caché en ma mémoire,

D’une âme remplie de souvenirs,

Il me reste ce que mon cœur à l’amour,

Chaque jour, une pulsion de tenir.

Souvenir agréable si vite échappées,

Souvenir d’une page qui saura me dire,

Celui d’avoir donné mon cœur au temps,

Qu’un pressent me restant,

Celui d’avoir un cœur à vous aimer encore.

NICOLLE Edmond le 24.10.11

http://poemesauxtraversdutemps.blogspot.com/