telly zighem

Le coupable n’était donc qu’un prévenu
La justice a décroché
Le prépendu coupable de son croc de boucher

Le duel fut saignant
Mais le sang va sécher
La partie civile ne fera pas appel
C’est un juriste qui le dit
Aussi éminent que Guaino nous le dit

2012 se profile
A l’horizon de Galouzeau
Crin blanc fougueux ira parler France à l’ONU
Quand Sarko promènera sa plume dans le cul

Happy Birthday, mister président !

BONJOUR ET BONSOIR A VOUS,PANAME.
ON A COMPRIS ET ON TE SUIS OK D'ACCORD!!!!!!!
TELLY Z

Mon amour a du chat, au moins tous les contours,
A se laisser aimer, sans donner en retour,
recherchant les caresses, au jeu de la promesse,
Prodiguant la tendresse, aux ailes de vanesse.

De ses yeux de félin, vous disant qu’il vous aime,
L’indifférence, il a, la seconde qui suit,
Transformant vos rondeurs, en simples analèmes,
Et tous vos sentiments en vraie mélancolie.

Pourtant certains matins, au gré de ses refrains,
Vous montrant ici bas les vraies couleurs du ciel,
Il sait de votre faim, en être le bon pain.

Et des allées venues de je t’aime non plus,
S’ouvrent de beaux oriels aux vues interstitielles,
Vous faisant découvrir des terres inconnues.

Moietmoi juin 2008

UN POEME CLASSIQUE,C'EST TRES AGREABLE TELLY

Mes mots sans mot...

Que sont tous mes mots devenus ?
Mes pertinents, mes saugrenus,
Ceux sans espoir, ceux si sensés,
Ceux qu’on écrit pour encenser.

Qu’ont ils laissé là dans la glace ?
Un bout de moi, rien qu’une trace,
Quelques idées mal exprimées,
Des illusions d’avoir aimé.

Les mots ne sont que la fumée
Des feux qu’on voudrait allumer
Pour dégorger ce qu’on ressent,
Tout ce qui bout là dans le sang.

Ma plume court sur le cahier,
Et ce qui sort de l’encrier
A la couleur de mes envies,
Sans pour cela être ma vie !

Je mets des mots tout à l’envers
Que je voudrais vous dire en vers,
J’essaye même en plus en prime,
D’y ajouter des bouts de rimes,

Et tout cela ne marche pas,
Toujours pas de trace de pas !
Ma poésie a les relents
Des poètes sans vrai talent ;

Mes mots sans mot faisant rêver,
Aux cieux n’ont pas su s’élever !

Moietmoi janvier 2010

PAS DE PROBLEME MOIETMOI...tes propos sont forcémént de la poésie et de la VRAIE.
"quand se termine le bonheur,reste la pluie ;reste mon âme et puis mon coeur ,larvé,détruit"
Au RDV du desespoir,par dessus l'épaule de l'humble,se penche l'Ange de la consolation,bref l'esprit
qui rasserene. telly

Plein de bonnes idées, mais trop fourni et trop abscons. Il faudrait que tu étayes ton texte. Il en est riche de plusieurs !
Peut-être serait-il bien "slamé"??

Amitiés
Brumes1

SALUT A VOUS O DEESSE.Que pouvez vous être donc si vous êtes vraiment la Brume!
Brume: pudeur d'un visage qui se détourne et dont le regard "s'ainsi estompe",
dans un pâle voile de brume!J'ai fréquenté cette dame autrefois et son bouffant
froid humecté de pluie me rafraichis toujours l'âme de sa trace naturelle.

Bref,pour revenir à ton commentaire Mme la Brume,tu as raison sur un point mais je n'y puis pas
changer ou revenir...(on me l'a déjà fait remarquer)J'additionne parfois plusieurs textes en enfilade
dans un seul.Ce n'est pas volontaire.Cette superposition correspond à l'état général du pauvre être
qui a rouleboulé les pensées le traversant par flots.Avec le recul,j'en suis témoin.Mais jusqu'à
aujourd'hui,je n'ai hélas pas la liberté d'interrompre cette "mise en balance"de ma vie,pour avancer.
J'écris cependant des choses nouvelles dans lesquelles les pièces du puzzle peu à peu s'unissent et
recollent...pour former de nouvelles molécules...lesquelles conduisent à la réunification recréatrice
de la" victime" cad de l'auteur yant commis ces textes! psys au travail!
L'impresssionnisme est un fait.Le cubisme aussi parfois dans l'écriture.
Amicalement vôtre Telly Zighem.pardonnez mes longueurs.

°°

Sur la clarté d'une évidence
Une ombre dense.

Les équations d'un retour,
Et la rime, toujours...
À résoudre à la lumière de paroles tues,
À dissoudre dans la chimie d'un regard.

Tu es mon alpha-bet incompris
Trop tard.
Et les nuages, les beaux nuages aussitôt.
Se précipitent.

Vite.

Je suis ton omega, ton février, ta faim.

J'ai fin de toi.

J'attends.

J'attends le signe.

Janvier drapé de blanc
Se signe
Seul
Devant ton linceul.

J'attends le signe,
Différant les mensonges
Les songes.

Une femme anonyme
Immobile et fragile.
Attend.

Je l'aime dans le temps...
Le temps d'avant
Le temps présent.

Formidable ,vraiment.Sans commentaire.la poésie est un esprit inspiré chez un être qui "inspire
lui aussi l'air" qui la contiend.(philo!)Ton texte est la difference entre l'instantané et le lourd boulot qui
rame et ne FAIT RIEN.
Si le travail compte beaucoup,la perfection n'est pas fruit du travail mais sorte d'envolée après la rudesse de l'ascencion du travail...le talent est un don reçu et non une creation de l'homme.
Un peu d'humilité donc.Le génie passe où il veut,chez qui il veut,quand et comme il veut et il nous traverse quand il le décide et nous quitte pour rester Génie.Il n'excepte personne .Que nul ne se décourage!
Telly zighem
°°