Ho toi, déesse au cœur de pierre,
Tes longs bras aux caresses mélancoliques m’étreignent sans jamais connaitre le repos,
Bien cruelle compagne, n’en auras-tu jamais assez ?
Toi qui sonde à chaque instant l’insondable de nos devenir pour n’en conserver que le pire,
N’en auras-tu jamais assez de me faire souffrir ?
J’ai emprunté bien des chemins, traverser des terres et des mers pour te fuir,
Mais partout ton rire moqueur se jouer de moi, tu étais là .
Perdu, vaincu, fourbu, je cherche à présent le repos dans la délivrance d’une mort salvatrice qui m’attriste.
MT
tolmus
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