Quand la mer se retire
En rasant les rochers,
Alors les flots soupirent,
La plage est délaissée.
Puis la lune illumine
De son feu rayonnant
Les vagues serpentines
Qui brillent doucement.
Penchée à ma fenêtre,
Je contemple l'aurore,
Car bientôt va renaître
Un matin ambré d'or...
Ce printemps que j'espère,
Aux accents un peu fous,
Me rend toute légère,
Amoureuse surtout.
aigue-marine
aigue-marine
Inscrit(e) : 10 mars 2011Hors-ligne Dernière activité : mars 12 2011 12:32