Gasparini

Etre vrai ,
ce n'est pas dire ce que l'on pense
mais penser ce que l'on dit



Léonardo Gasparini .

Absurde au possible , tu troubles pensées
tu me donnes idées , mauvaise pour l'ame
tu me parles je ne te connais que dedans
mais tu oublies les gants , que tu devrais
posé sur tes doigts , avant de m'interompre


tu me parles de potins , de comèrage lourd
tandis que le poète , tante de poser des mots
sur ce que tu fais du monde , je ne peux écouter
car toujours tu es la , à troubler mes pensées.


Le gange me murmure qu'il faudrait t'arreter
ne plus te voir , et te jeter en lui .
Le nil est du meme avis , tu crées le chaos .
Je ne crois plus en ta bonne foi , tu es controler
gérer par l'état , pour nous " imbesiliser"

Tu fais de nous des moutons , bien loin des lions
que nous sommes d'habitudes , obligé de te suivre .
Je ne te veux plus chez moi n je te met à la porte
pour que tes messages malsaint , ne passe plus ma porte
et que mon monde s'établisse , mes idées aussi.

Tu as tous compris à nous , humain gentil est bon ,
mais impatient de controle , de pouvoir , tu nous corompt
je te hais , te me faire revr comme tu le fais
car je sais que tes mots son faux , ta politique aussi
je prépare ton bucher , en les mots que j'écris .

Je t'en veux de prendre posséssion de mon ésprit
de ne pas me laisser libre , d'etre toujours la ,
à me geter , à m'obliger , à m'observer , à consomer .
Tu fais des gens des ésclaves , et cela t'amuses .
nous pauvres idiots , restons tes muses.

Il est peut etre trop tard , ton information c'est propagé
tu feras du monde , un endroit ou tous se ressemblera
il n'y aura alors plus de reve qu'a travers toi
tu nous auras volé nos ames et nos maisons ,
alors que tu aurais pu , n'apporter que du bon .

Les ondes , bien plus forte que les hommes ne lutte plus ,
tu les voles dans leur paisible voyage , le cosmos t'en veux
Je ne suis plus d'accord avec toi , je lutterai
pour que tu nous apprennes du vrai , et du beau
à la place de te laisser creuser mon caveau .

ps : passé les fautes , je ne regarde pas deux fois ...PARDON

Alors , en cette fin de soleil ,
sans plus d'éspoir , le coeur au large ,
sans m'y attendre , je suis né .

Ce jour , ou toutes prises se fut brisées
ou les portes closes revaient mon nez ,
c'est ce jour que je suis né .

Rien ne m'était plus vivable ,
la passion des saveurs s'était enfuie ,
le gout du reve que je chéri m'avais laissé ,
mais je suis né .

L'honneteté m'avais quitté ,
ma gaité habituelle c'était enfuie ,
car je revais ma vie ,
et n'était pas conscient que je pouvais la vivre .

Le jour ou j'ai offert ma vie à la vie elle-meme ,
le jour ou j'ai abbandoné ma vie au temps ,
Le jour ou courageux je me suis imposé à mes tourments
je suis né.

Je me suis trahi et vendu ,
mais si je ne l'avais pas fais ,
je ne serai spas né.

Si je n'avais pas été lamentable et sourd
si je n'avais été qu'un pitre suivant un modèle
si j'avais érré sans but , je ne serais pas né .

La naissance n'est pas un acte symbolique d'un
cordon qui se coupe , non ....
La naissance c'est la conscience d'etre la , bien présent..
Incarné !

La naissance c'est la souffrance avant la naissance
Le mauvais apprentissage de ce que nous detestons de nous
mais qu'il nous faut pourtant accomplir
afin de se connaitre .

La naissance , c'est un homme , une femme ou plutot une conscience
ce jour ou tu vas naitre , tu vivras !

Vodka , champagne , caviar
éscroquerie de 20 ans ,
de face déchirée , lancer au vent ,
je te choisi au hasard .

Plus qu'injuste , pire , méprisant
il s'agit d'etre en place
d'etre là , d'etre face ,
à rien , au néant .

De vos vies subies
je vous nomme
place des traitres

comme votre pays est beau
imagination débordante
faux faux faux faux ,
faussaire d'ame

Aucun cadeau je vous fais
car mérite et honneur
sont due d'hardeur
et vous n'etes que reve ,
tant mieux.

Que non pas ,
je ne vous maudirais pas
petite larme acrochée au papier
je vous souhaite à vie ,
la liberté

Le soleil se rend
à cette plume d'argent
ou se boulversent , états et sentiments
que les mots ne suffisent à apaiser

là , ou s'imagine les tourments ,
dans le ventre , en tas , ou dans le temps
je t'offre ma vie , mon papillon de lune.

Les brouillards des vies , obscusissent l'écran ,
ou les neiges sur les coeurs , ne guérissent pas les rangs
ou les pensées célèste assombrissent ma foi ,
mais ma reine est la et s'offre à la divine.

Soit sure , petite princesse bohémienne ,
que ton ame a un gardien , et qu'il te protège ,
des reveries des uns , et des discours du vent ,
qui ne te soulage que ce soir surement .