Ô terre fertile d'oliviers de bohème,
Berguent, ancien village natal des ancêtres,
Tel que lui témoigne en éminence un diadème,
Respectant ceux venus dessus dire un poème.
Que de souvenirs laissés sur la plate-forme,
Que le sillage du temps désire bien enfouir.
Il n’y a que toi qui as un fond, une forme,
Que je dirais sans avoir l'idée de te fuir...
Dis-moi, où sont partis ceux qui ont fait de toi,
La merveille de jadis assez florissante,
En tamaris verdoyant, en saule et parfois,
En de diverses plantes assez éblouissantes.
Berguent, d’où rivière allant tout doux pêle-mêle,
Traversant plaine et vallée laissant cataractes,
Par ci, par là , chuter lentement en bons actes,
Sans se soucier de quoi les gens tant se mêlent.
Lien du site : http://fr.netlog.com...431427#comments
B. Ahmed
Bentahar
Inscrit(e) : 27 avril 2012Hors-ligne Dernière activité : oct. 05 2012 12:15
Informations
- Groupe : Membre
- Messages : 169
- Visualisations : 7 157
- Titre : Tlpsien ++
- Âge : 80 ans
- Anniversaire : Janvier 1, 1945
-
Website URL
http://fr.netlog.com/docker_ben
Publications sur Toute La Poésie
Berguent, village natal ...
14 juillet 2012 - 12:31
appel à la vie, à l'amour ...
12 juillet 2012 - 08:35
Ô coeur, viens si tu m'appartiens et sois à l'heure !
Il n' y a que toi qui sois aussi grand qu'un fleuve,
Déborde alors en sentiments et en bonheurs.
Viens, fais moi plaisir et de joie autant m'abreuve !
La nature envie le parfum de tes arômes.
Les corolles dans les fleurs hument tes parfums,
N'ayant d'exemple ailleurs, qui, toutes les embaument
Pour tant les laisser se satisfaire à leur faim.
Le soleil au zénith met fin à son parcours,
Attendant l'épanouissement de ces corolles,
Qui te tiennent en compagnie dans tout le cours,
Pour poursuivre sa rondonnée en parabole .
Viens donc Ô coeur embaumer l'océan de vie !
Donne aux plants la joie de vivre et autant d'espoir!
Fais vibrer les âmes et donne leur l'envie
De persévérer à l'encontre des déboires.
Fais appel Ô coeur aux adeptes de l'Amour !
Dis leur que la vie est faite de joie, de fleurs,
Qu'ils aiment cette vie sinon et pour toujours,
Ils vivront le grand malheur et tous les leurres !...
Dis leur que les oiseaux ,dans leur envol ,tous chantent,
Pour que les aiguilles au cadran ne s'arrêtent.
Que dans leurs gazouillis au ciel tout bleu qu'ils hantent,
Parent les lieux sans se soucier d'être bien bêtes...
Qu'à tant de sources la goutte d'eau ne tarit,
A la quête de vies désirant s'apaiser,
De crainte de les voir tout au cours tant aigries,
Bien que l'eau soit faite pour être canalisée...
Dis leur, tout compte fait, que la vie est bien belle.
Qu'elle est tant faite de fleurs et de papillons,
Où la fleur est femme autant que la mirabelle
Douce et charmante et non que jadis cendrillon...
Le papillon est cet homme viril et doux,
Trop sensible aimant bien le beau et l'admirable,
L' être sachant autant comment il t'amadoue,
Pour te rendre beaucoup heureuse et trop aimable....
Ahmed, le 08.07.2012.
Il n' y a que toi qui sois aussi grand qu'un fleuve,
Déborde alors en sentiments et en bonheurs.
Viens, fais moi plaisir et de joie autant m'abreuve !
La nature envie le parfum de tes arômes.
Les corolles dans les fleurs hument tes parfums,
N'ayant d'exemple ailleurs, qui, toutes les embaument
Pour tant les laisser se satisfaire à leur faim.
Le soleil au zénith met fin à son parcours,
Attendant l'épanouissement de ces corolles,
Qui te tiennent en compagnie dans tout le cours,
Pour poursuivre sa rondonnée en parabole .
Viens donc Ô coeur embaumer l'océan de vie !
Donne aux plants la joie de vivre et autant d'espoir!
Fais vibrer les âmes et donne leur l'envie
De persévérer à l'encontre des déboires.
Fais appel Ô coeur aux adeptes de l'Amour !
Dis leur que la vie est faite de joie, de fleurs,
Qu'ils aiment cette vie sinon et pour toujours,
Ils vivront le grand malheur et tous les leurres !...
Dis leur que les oiseaux ,dans leur envol ,tous chantent,
Pour que les aiguilles au cadran ne s'arrêtent.
Que dans leurs gazouillis au ciel tout bleu qu'ils hantent,
Parent les lieux sans se soucier d'être bien bêtes...
Qu'à tant de sources la goutte d'eau ne tarit,
A la quête de vies désirant s'apaiser,
De crainte de les voir tout au cours tant aigries,
Bien que l'eau soit faite pour être canalisée...
Dis leur, tout compte fait, que la vie est bien belle.
Qu'elle est tant faite de fleurs et de papillons,
Où la fleur est femme autant que la mirabelle
Douce et charmante et non que jadis cendrillon...
Le papillon est cet homme viril et doux,
Trop sensible aimant bien le beau et l'admirable,
L' être sachant autant comment il t'amadoue,
Pour te rendre beaucoup heureuse et trop aimable....
Ahmed, le 08.07.2012.
Encore des mots...
22 juin 2012 - 07:43
Ô il y a d’autres aussi qu’on entend en bloc,
Parfois ils nous blessent beaucoup profondément
Si nous ne changions pas de comportement,
On risquerait de tomber sous l’effet du choc.
Les personnes en gros sont de diverses mottes,
Les unes sont bien en argile réfractaire,
D’autres trébuchent sur les pentes du calvaire,
Cette vie lecteur ne vois-tu pas qu’elle est sotte ?
Certes ! C’est ainsi qu’elle est vile et bien grossière,
Ses années, ses mois et ses jours sont éphémères,
Avant qu’elle n’ait la fin, elle nous débotte.
Parmi les mots, il y a ‘’ Aimer ‘’ et ‘’ Admirer ‘’.
Réchauffant les cœurs tels les pieds à la bouillotte,
Y-a-t-il des meilleurs des mots qui soient bien mirés ?
B. Ahmed .
Sincères amitiés.
Parfois ils nous blessent beaucoup profondément
Si nous ne changions pas de comportement,
On risquerait de tomber sous l’effet du choc.
Les personnes en gros sont de diverses mottes,
Les unes sont bien en argile réfractaire,
D’autres trébuchent sur les pentes du calvaire,
Cette vie lecteur ne vois-tu pas qu’elle est sotte ?
Certes ! C’est ainsi qu’elle est vile et bien grossière,
Ses années, ses mois et ses jours sont éphémères,
Avant qu’elle n’ait la fin, elle nous débotte.
Parmi les mots, il y a ‘’ Aimer ‘’ et ‘’ Admirer ‘’.
Réchauffant les cœurs tels les pieds à la bouillotte,
Y-a-t-il des meilleurs des mots qui soient bien mirés ?
B. Ahmed .
Sincères amitiés.
Le mot
22 juin 2012 - 07:28
Le mot , ce groupe de phonèmes bien étrange,
Où l'art de la combinaison avec tant d'autres,
Fait vibrer les sens et battre le coeur du centre,
Combien a-t-il de valeur avec les échanges !
Le mot bien placé resterait une tendresse,
Quand il est doux accompagné d'un beau regard,
Même au bout du monde il fait le coup tel un dard,
Pour émouvoir tant de coeurs envie de caresses.
Le mot combiné avec d'autres c'est un art,
Il n'est pas le privilège de la plupart,
Beaucoup de gens sont engloutis dans leur paresse.
Le mot bien choisi dans une phrase est son fard,
Il l'enrichit, l'embellit lui fait part d'adresse,
Tout rhétoricien et tout orateur le parent.
B. Ahmed .
Amitiés, sincères.
Où l'art de la combinaison avec tant d'autres,
Fait vibrer les sens et battre le coeur du centre,
Combien a-t-il de valeur avec les échanges !
Le mot bien placé resterait une tendresse,
Quand il est doux accompagné d'un beau regard,
Même au bout du monde il fait le coup tel un dard,
Pour émouvoir tant de coeurs envie de caresses.
Le mot combiné avec d'autres c'est un art,
Il n'est pas le privilège de la plupart,
Beaucoup de gens sont engloutis dans leur paresse.
Le mot bien choisi dans une phrase est son fard,
Il l'enrichit, l'embellit lui fait part d'adresse,
Tout rhétoricien et tout orateur le parent.
B. Ahmed .
Amitiés, sincères.
Quand l'amour tue en silence...
21 juin 2012 - 12:05
Ton monde est ce qui reste à découvrir,
Pour le poète désirant l'éveil,
Au soir d'hiver pour autant se couvrir,
Des vents tant glaciaux qui le réveillent.
Des mots, ne cache plus rien de ton cœur,
Et s'il te reste encor des souvenirs,
Dis-le ! Ô sœur sans avoir autant peur,
N'invente pas ce qui laisse à frémir !
Que tu les inventes, je saurais lire,
Derrière les interlignes tout leur sens,
J'aurais aimé si bien te laisser dire,
Tous ceux qui avaient eu un contresens.
Des couleurs, je préférerais le rouge,
Symbole d'amour et de compassion :
Il remue en moi les sens et je bouge,
Sans même faire beaucoup d'attention.
Ô sœur, quand tu me parles de couleurs,
J'oublie les morsures de ces couleuvres,
Tous leurs stigmates laissés et leurs œuvres,
Les heurts du temps vécus et tous les leurres.
Je ne penserais qu'aux douceurs des mots,
Qui me rappellent les senteurs d'arôme
De tes fragrances, m'évitant des maux,
Sans me sentir sur un terrain de chaume !...
Et quand tu écris, rappelle-moi bien,
Tous les dépôts pour m'astreindre un repos,
Sans oublier de me faire part des liens
Qui m'enverraient tout droit aux entrepôts.
Vent de l'Est en roses, ne te métamorphose !
Ce soir je te lis en évitant tous les lits,
Pour avoir attisé le feu plus que la dose,
Moi qui n'ai plus su qu'un jour on m'a assailli.
Ahmed, le 17.06.2012.
Pour le poète désirant l'éveil,
Au soir d'hiver pour autant se couvrir,
Des vents tant glaciaux qui le réveillent.
Des mots, ne cache plus rien de ton cœur,
Et s'il te reste encor des souvenirs,
Dis-le ! Ô sœur sans avoir autant peur,
N'invente pas ce qui laisse à frémir !
Que tu les inventes, je saurais lire,
Derrière les interlignes tout leur sens,
J'aurais aimé si bien te laisser dire,
Tous ceux qui avaient eu un contresens.
Des couleurs, je préférerais le rouge,
Symbole d'amour et de compassion :
Il remue en moi les sens et je bouge,
Sans même faire beaucoup d'attention.
Ô sœur, quand tu me parles de couleurs,
J'oublie les morsures de ces couleuvres,
Tous leurs stigmates laissés et leurs œuvres,
Les heurts du temps vécus et tous les leurres.
Je ne penserais qu'aux douceurs des mots,
Qui me rappellent les senteurs d'arôme
De tes fragrances, m'évitant des maux,
Sans me sentir sur un terrain de chaume !...
Et quand tu écris, rappelle-moi bien,
Tous les dépôts pour m'astreindre un repos,
Sans oublier de me faire part des liens
Qui m'enverraient tout droit aux entrepôts.
Vent de l'Est en roses, ne te métamorphose !
Ce soir je te lis en évitant tous les lits,
Pour avoir attisé le feu plus que la dose,
Moi qui n'ai plus su qu'un jour on m'a assailli.
Ahmed, le 17.06.2012.