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Roosebert Demosthene

Inscrit(e) : 30 juil. 2012
Hors-ligne Dernière activité : mars 10 2013 05:06

Publications sur Toute La Poésie

Fichu, déchu

29 octobre 2012 - 01:09

Au temps des grands hommes

Où je suis né, de femmes en flamme

Donnant la vie à de folles âmes,

Croyaient dans la force des armes.


La vie n’est rien qu’une merde,

En toute franchise elle est sans remède.

Au delà de la limite mystérieuse,

Qui se situe hors de la voûte ténébreuse.


La guerre pour les hommes n’est qu’un passe temps.

La tuerie, leurs amusements même au printemps.

La misère, hors chômage et à cœur ouvert

Emploie son temps, à nous regarder au travers.


Et ce qu’on croyait être la prééminence,

Où la sève du cœur dans sa quintessence

Se décline ; Et l’homme se transforme

En machine destructive, et se déforme.


La nature trahie de ses fils impudiques,

A perdu sa saveur symbiotique ;

Pour être vouée à l’auto destruction,

Et à la vanité des gens sans obstruction.

Abas là- bas

28 octobre 2012 - 03:55

Abas les abas de pourboire

Des sanguinaires en dépotoir

Qui detournent leurs ébats en abattoir.



Abas les abas des parias sous le joug.

Qui se font entendre de jour

Et toujours, le cri de ses joujoux.



Abas les abas de répugnance

Qui avec leurs tambours dansent

L’apocalypse de leur détresse.



Abas les abas d’autrefois,

Pour racheter les fois

De l’ensemble des sans loi.



Abas les abas sans débat

Qui retournent en ébat.

Et provoque des coups d’Etat.

Mes poèmes

26 octobre 2012 - 02:28






La poésie de mes poèmes,
Ne peut que de la bohème.
Puisque les mots se font rares,
Pour n’exprimer que de la bavarde ;


L’essentiel que l’on puisse dire,
Sans qu’on puisse la contredire.
C’est qu’elle est mon âme sœur sans émoi,
Et qu’à elle seule suffit pour moi.


Mais, elle te symbolise ma poésie !
Et si je ne puis rien écrire sur l’Asie,
C’est que ma patrie n’est plus là-bas,
Dans la vénération de Bouddha.


Bien que ma poésie en mille mots,
Ne pourrait exprimer ses maux.
Je réclame ta passion révolue,
Dans un élan de bonheur dévolu.


Ma divine poésie restera toi,
Pour tes dires et tes gestes de foi ;
Qui m’inspirent avec douceur,
Le vrai chemin du bonheur.


Elle se confondra avec le jour,
Pour qu’apparaître sa splendeur d’amour,
Et chassera la peur dans les cœurs.
Qui encre le monde dans le malheur.


De notre amour naisse cette poésie,
Qui rallume la flamme de notre vie.
Et lorsque notre passion se trouve ravie,
L’on croirait au bonheur sans fantaisie.

Maitrise du temps

20 octobre 2012 - 09:58

Le moment où la parole s'exprime, le temps s'absente.

Elévation

12 octobre 2012 - 10:34

Quand l’infini m’apporte le courage,

Au moment où, l’orage fait rage

Dans mon cœur en déroute, sans écoute.

Et que survient l’abondance sans nul doute.


Où tout à refaire dans cette voûte

Creuse, dévastée, ravagée, et envoûtée

M’engageant dans le chemin solitaire,

Vers la cité royale et salutaire.


Soudain! Une voix se fut entendre,

Au milieu de deux voies à l’encontre.

Prenez celle de ta droite des routes,


Il n’y a là dessus pas de doute.

C’est le chemin qui élève l’âme,

A la cité de la suprématie suprême.