papillon1975

Mes chers amis,

Enfin je souris à la vie,

2012 fut une année pourrie,

Mais pour moi ce que symbolise 2013,

Est synonyme de renouveau et de synthèse,

Je sais maintenant ou j'en suis,

Justice et verité,

Seront les moteurs de cette année,

Et je souhaites a vous tous qui me lisez,

Une brillante et merveilleuse année.

chers amis poètes,

je ne suis plus la car
j'ai cru en l'amour a sens unique,
plus j'aimais, plus je me detruisait,
ma muse n'est plus la,
partie pour d'autres bras,
plus fermes et plus doux que les miens,
j'ai compris en une phrase,
qu'entre nous s'est eteint l'extase,
la complicité d'antan,
a été remplacée par tes regards méchants,
les paroles blessantes,
tournent de façon incessante,
inutile de revenir en arrière,
ma memoire a scellé ces mots abjectes,
je pardonne mais n'oublierais jamais,
cette phrase : " bientot, je te quitterais".

Je brise la glace,
Et je vous enlace,
De mes bras charnus,
La peur n'existe plus,
Je me dévoile,
Je me fonds dans la toile,
Délivrant mes poèmes,
Qui vous rendent blèmes,
Le coeur rouge sang,
Je sors du rang,
Pour dire tout haut,
Je vous aime, vous les mots.

http://www.mespoesies.com/index.html

Je n'y comprends rien, j'ai pas l'esprit logique,
Mais que faut-il donc faire pour comprendre cette matière?
x,y,z, les lettres se mêlent à l'arythmétique,
Moi je préfère la langue de Molière.

Ne m'en veuillez pas, messieurs les mathématiciens,
Je ne comprends pas pourquoi xy=2,
A chacun sa matière, je préfère les peintures de Gauguin,
A chacun sa passion, ce qui nous rends heureux,

Si un jour je comprenais, cela tiendrais du miracle,
Je compense ce manque à écrire de doux mots,
Qui, je l'espère, n'iront pas à la débacle,
Car en maths, je ne comprends aucuns mots.

P.S : de nouveaux poèmes dont je suis l'auteur vous attendent sur :
http://www.mespoesies.com/index.html

Viens mon amour, que je t'embrasse langoureusement,
Que je te fasse l'amour comme jamais a aucun je n'ai fait,
Ton étreinte si forte me pousse presque au défaillement.
Ce souffle chaud dans mon cou c'est ce que j'espèrais,
Tes mains sur mon corps brûlant de désir,
Arrive enfin l'heure de nos étreintes mutuelles.
Je décide de m'abandonner dans un énième soupir,
Dans ton regard complice j'appercois une étincelle,
quand ta langue de velour éffleure mes seins,
Dans un rythme effréné, je sens qu'à ton tour tu défailles,
D'approcher l'apothéose de tes coups de reins,
je frissonne de partout tant ça me fait du bien,
Je ressens en moi presque la béatitude,
d'approcher de près le nirvana,
Puis ton corps devient rude,
Puis je sens qu'a ton tour, le jardin d'eden est à toi,
Et comme si le temps s'était arrêté,
Ma tête tourbillonnant des effets de cette étreinte,
Jamais aucun homme ne me fit cet effet,
Ce qui prouve que tu es l'unique détenteur,
De mon désir qui jamais ne saurais m'éreinter.