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jazzy jazz

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Hors-ligne Dernière activité : janv. 23 2013 06:22

Publications sur Toute La Poésie

où est-il?

18 janvier 2013 - 02:30

Où, où est-il ?

La froideur du néant diffuse l’amertume de la crainte,

Au parcours velouté,

Qui n’est plus.

Tu es une droguée,

En manque de son souffle,

Ton autel subi un tremblement de terre inattendu,

Malgré ses fondations solides,

Tu perds la planche qui te laisse sans filet au-dessus des points,

 

Où, où est-il ?

Ton noctambulisme a mis ton ambition en berne,

Qui a perturbé ta boussole,

L’écho s’est perdu dans un trou noir,

Non, impossible,

Le trou noir a immolé l’écho,

Il te faut retrouver diurne en saison,

Pour rendre lumière à la pénombre,

Afin de t’en remettre à lui et lui dire oh combien il t’a manqué.

 

Jazzy Jazz

Lui (2)

15 janvier 2013 - 01:21

Sur sa pierre l’ombre posée,

D’un geste vif, détend ses osselets,

Face à la pâleur de son pain bénit,

Son corporel reprend vie.

 

Le feu sacré s’empare de son état,

Libérant les flammes de son zénith,

Ajustant les règles de son intime,

Pour faire éclore un nouveau monde.

 

Ses prunelles se languissent,

Des linéaires futurs,

La première n’étant finie,

Que la seconde a déjà destination.

 

Nul besoin de motricité,

Pour arriver à bon port,

Avec ses rythmiques,

Les frontières se franchissent en une cornée.

 

Jazzy Jazz

Pour "Lui".

14 janvier 2013 - 02:36

Je demande, fruit défendu,
  Si le souvenir du premier jet,
 A pris l’astre poli comme éclaireur,
 Pour mes ouvrages à son essence.

Sa passion en considération,
 Rend généreux mon bavardage,
 Et met à peau ma majuscule.

N’y avait-il pas une coccinelle,
 Sur le front du nouveau jour,
 Qui épicerais la marguerite,
 Au coin de l’horizon opposé.

Jazzy Jazz

La passion

14 janvier 2013 - 06:25

Soif de ciel, envol en touche,
Brûler mes plumes, bitume tactile,
Prendre le large en vingt six temps,
Lâchant le jour, sous cloche de lune,
Qui morne la vie, réalité...


...Si une ivresse pend votre ossature a l'un des ruisseaux postérieur du vent qui mouche l'oxygénation et qu'elle saoul la sève qui vous noie dans celui ci, ne laissé jamais la branche vous extirper de ses courants....

 

Jazzy Jazz

L.B

03 janvier 2013 - 07:58

L’horaire a pris son dû,

Sans prendre volet en chemise,

Ni même lisser le balai,

Aux gouttières écloses,

Malgré sa devanture éteinte.

Mais cela n’a d’importance,

L’air à tissé soie,

Au bourgeon en mue,

Au filet absout,

Aux plantes sans cuir,

Aux perles vitrifiées,

A l’ivoire défendu,

A l’orée du tournesol.

Ainsi son centre a pris alitement, 

Aux lèvres de la rivière,

Fluidifiant la valse,

Des roches bavardes,

Emportant sa sonorité,

En grotte thoracique,

Pour unir son cour à la chute.