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Leyla Garga

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Hors-ligne Dernière activité : déc. 21 2012 05:54

Publications sur Toute La Poésie

Viens dans mon antre

21 décembre 2012 - 05:07

Viens dans mon antre
Chasseur de pierres
Ouvre donc et entre
Ici la terre entière
Se meut, beugle, étrange
Veule, noire, échancre
Attends.. oui, viens
Viens dans cette antre

Manque

21 décembre 2012 - 04:58

Tu me manques, amour
Tu m’es cher, mais si insaisissable.
Il y longtemps que je ne t’ai parlé.
Peut-être es-tu toujours parti ?
Peut-être es tu revenu ?
Peut-être même as-tu repris ?
Peut-être as-tu décidé de me faire languir ?
Et me torturer est ton souhait.
Mais qu’en tireras-tu, hors vilain satisfécit ?
Je tiendrai devant, j’avancerai toujours
Et un jour aurai ma revanche
Où tes larmes à mes pieds feront torrent
Et je me délecterai à les regarder
Je les compterai pour voir s’il y en a assez
Je vérifierai si elles me sont destinées
Je les filtrerai pour m’en assurer
Je n’accepterai aucun remouds
Elles seront à moi seule réservées.
Et je m’en régalerai et te dirai :
Viens donc amour, viens me parler ….

TOI

21 décembre 2012 - 04:51

Toi, tu rends mon quotidien meilleur

Sûr, tu as été créé pour mon cœur

Au quotidien tu me tiens la main

Ton cœur, désigné pour le mien

Ton regard, accompagnant le mien

Tes pas, marchant dans les miens

 

Tous les jours, LUI dire merci

C’est parfait, ce qu’IL a décidé ici

 

Tu me diriges, ou me guides

Qu’importe,  c’est à notre guise

Nous irons toujours

Vers demain autre jour

 

Je veux toi, je veux

Je veux nous, je veux

Les années avancent, et plus belle je suis

Plus épanouie de vie, plus palpitante de vie

 

Car sans toi je n’irais

Assise pour sûr je serais

A regarder passer leur vie

La mienne bêtement omise

Puisque sans toi, je ne suis….

Laisse-moi t’embrasser

20 décembre 2012 - 04:41

Laisse moi tembrasser
Laisse moi te toucher
Ces doigts ont si faim de sépancher
Sur toi enfin, de se promener

Défiler, explorer
Te découvrir, se balader
Te toucher là, avant même ici
Sémouvoir de te regarder bouger
Se vanter de te voir séveiller
Semmêler dans ces obscures tranchées
Sessouffler sur ces montées
Sembrouiller dans ces contrées
Se blottir dans ces beautés

Et puis pleurer, de te laisser
Et pourtant décider, de te garder

Saccrocher, désespéré
Les griffer, mauvaises pensées
Les trancher, honteuses visées
Les tuer , vilaines ordures
Les décimer, idées impures

Mais seulement je continue despérer
Car ce mal en moi est ancré
Et le fond de mes tripes appelle à moi
Hurle à la vie, trop-plein démois

Entends-tu quelles paroles obscures
Sont à messe basse entretenues ?
Eux parlent de toi, de ton corps obscur
Trop dappétence, symbole accru
Femme de rondeurs, âme guindée
Tu attires leurs regards, et nourris la scène
Comment veux-tu que l'on sy prenne ?
On y perd son latin
Tu es à moi ma belle
Et je te garderai
c'est ce que je sais