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zenrail

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Publications sur Toute La Poésie

mirage

10 février 2013 - 05:38

Le cur de la pierre sépanouit dans la noirceur de ses pétales. Et darde aux cieux le mortel venin. tandis que lil dun cyclope scintille par la blancheur de son iris, dont les rayons inondent les monts endormis. Avec une hypnotique lenteur cimes et branches ondulent sous la fraîche brise esquissant décarlates mosaïques aux vitraux célestes. La lune se drape de mille parfums et charme de son regard brumes et nuages Voilant la douceur de son corps. Etendant son bras, attisant la marée, elle enchaîne à elle le cur naissant de la pierre et dans un éclat de clarté capture son âme.

vision

02 février 2013 - 01:13

Ce trou m’englouti de son regard,

Et ce n’est pas le fil rouge de sa main qui m’y entraine,

C’est le soupir morne que jettent mes pas

En dansant la macabre rythmique du regard.

La lune.

La lune m’observe et m’inspire.

Hâtons-nous l’abysse m’aspire et je ne puis

la faire attendre de peur qu’elle ne se referme devant moi.

Je m’endors ce matin

Pour ne point m’éveiller de cette journée sinistre

Seul.

Et pourtant seul le soleil m’éclaire de ses tentacules serpentins sordides et froids

Et d’un soliloque la fleur déclame son poème à la gloire de la vie.

Quelle tristesse qu’elle eut à la quitter !

Hâtons-nous  le gouffre m’appelle et me supplie

Et je m’en vais le rejoindre en son lit.

La nuit, la nuit coule à flot,

et le torrent des astres m’emporte dans sa danse solitaire.

La nuit m’emporte.

vision

02 février 2013 - 01:13

Ce trou m’englouti de son regard,

Et ce n’est pas le fil rouge de sa main qui m’y entraine,

C’est le soupir morne que jettent mes pas

En dansant la macabre rythmique du regard.

La lune.

La lune m’observe et m’inspire.

Hâtons-nous l’abysse m’aspire et je ne puis

la faire attendre de peur qu’elle ne se referme devant moi.

Je m’endors ce matin

Pour ne point m’éveiller de cette journée sinistre

Seul.

Et pourtant seul le soleil m’éclaire de ses tentacules serpentins sordides et froids

Et d’un soliloque la fleur déclame son poème à la gloire de la vie.

Quelle tristesse qu’elle eut à la quitter !

Hâtons-nous  le gouffre m’appelle et me supplie

Et je m’en vais le rejoindre en son lit.

La nuit, la nuit coule à flot,

et le torrent des astres m’emporte dans sa danse solitaire.

La nuit m’emporte.

vision

02 février 2013 - 01:13

Ce trou m’englouti de son regard,

Et ce n’est pas le fil rouge de sa main qui m’y entraine,

C’est le soupir morne que jettent mes pas

En dansant la macabre rythmique du regard.

La lune.

La lune m’observe et m’inspire.

Hâtons-nous l’abysse m’aspire et je ne puis

la faire attendre de peur qu’elle ne se referme devant moi.

Je m’endors ce matin

Pour ne point m’éveiller de cette journée sinistre

Seul.

Et pourtant seul le soleil m’éclaire de ses tentacules serpentins sordides et froids

Et d’un soliloque la fleur déclame son poème à la gloire de la vie.

Quelle tristesse qu’elle eut à la quitter !

Hâtons-nous  le gouffre m’appelle et me supplie

Et je m’en vais le rejoindre en son lit.

La nuit, la nuit coule à flot,

et le torrent des astres m’emporte dans sa danse solitaire.

La nuit m’emporte.

vusion

02 février 2013 - 01:13

Ce trou m’englouti de son regard,

Et ce n’est pas le fil rouge de sa main qui m’y entraine,

C’est le soupir morne que jettent mes pas

En dansant la macabre rythmique du regard.

La lune.

La lune m’observe et m’inspire.

Hâtons-nous l’abysse m’aspire et je ne puis

la faire attendre de peur qu’elle ne se referme devant moi.

Je m’endors ce matin

Pour ne point m’éveiller de cette journée sinistre

Seul.

Et pourtant seul le soleil m’éclaire de ses tentacules serpentins sordides et froids

Et d’un soliloque la fleur déclame son poème à la gloire de la vie.

Quelle tristesse qu’elle eut à la quitter !

Hâtons-nous  le gouffre m’appelle et me supplie

Et je m’en vais le rejoindre en son lit.

La nuit, la nuit coule à flot,

et le torrent des astres m’emporte dans sa danse solitaire.

La nuit m’emporte.