Il existe en effet des pensées qui viennent ''automatiquement'' et qui ne dépendent pas de nous mais ils en existent d'autres qui sont bien dirigées par notre esprit, Descartes en parle d'ailleurs dans son Discours de la Méthode. Par ailleurs je ne comprends pas ce que tu veux dire par contradictoire ( je connais le sens du mot mais je ne suis pas sûr du sens qu'il a dans ta formule) , je dois bien t'avouer que je ne vois pas le paradoxe, si je m'arrête aux premiers mots,''il est impossible de penser'' , je me sens obligé de dire que non, rien que de dire ça résulte d'une pensée, ça reviendrait à dire et escuse -moi pour cet exemple trop flagrant à mon goût : ''je ne dirais rien'' -> il le dit bien pourtant. Enfin peux-tu m'éclairer sur ''contradictoire'' ?
Ronald Wallon
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Les mots ne suffisent jamais à présenter une personne dans toute sa complexité, ainsi je ne me qualifierais que par un seul mot : Poète.
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Dans la publication : Lettre à Freud
21 février 2013 - 11:01
Dans la publication : Lettre à Freud
21 février 2013 - 06:21
Ha ha je vois ce que tu veux dire, tu parle du sens communément partagé par ''tout le monde'' (le ''on'' d'un point de vue philosophique), je pensais que tu allais aborder plutôt le fait que ce qui est nécessaire est ce qui est et est sans changements possibles de conditions, je m'explique : j'ai un portable dans ma main, si je le lâche il est ''nécessaire'' qu'il tombe, donc quand je parle de nécessité je parle de ça et ainsi je vois que tu t'embrouilles dans le sens du mot qui est bien malheureusement déformé par ce ''on'', je pense que tu confonds avec ''l'obligation'': dès que l'on est obligé de faire quelque chose, il est dès lors possible de faire le contraire. C'est cela qui diffère d'avec la nécessité, car il est possible de s'empêcher de respirer, de manger ou bien de dormir (oui je suis d'accord que ça diminue notre espérance de vie ) mais il est bien entendu que l'opinion de chacuns est à prendre en compte, pour certaines personnes il est ''impossible'' de ne pas écrire, de ne pas faire l'amour etc... parce que c'est ce qu'ils croient (ici nous ne pouvons même pas employer le verbe ''penser'' car ils ne pensent pas consciemment que ça leur est nécessaire). Donc il vaudrait mieux dire que nous sommes ''obligés'' de respirer, manger, dormir, boire etc... pour vivre.
Dsl pour les longues phrases, j'espère que tu as un bon souffle
Dans la publication : Lettre à Freud
20 février 2013 - 09:51
Que veux-tu dire par ''la nécessité est une urgence'' ?
Dans la publication : Lettre à Freud
20 février 2013 - 12:40
Je n'arrive toujours pas à comprendre comment on peux écrire par ''hasard'' ,ce n'est sérieusement pas possible,ceci dit ça ''vaudrait'' presque mieux d'écrire par nécessité, mais sais-tu ce que nécessaire veux dire ?
Enfin tu sais quoi ? je vais m'arrêter là avec mes commentaires qui n'ont rien à t'apporter, alors courage et bonne continuation
Dans la publication : Lettre à Freud
18 février 2013 - 08:58
Je trouve ça dommage d'écrire par hasard