J’ai suivi ces pas pour un chemin sanglant mais plein de sentiments
Des conflits incarnent nos esprits et des défauts intimes ont apparus
Ton obscurité a peine dévoilée, effrayante comme ta beauté est toujours fascinante
Finalement par un résonnement absurde qu’elle m’a délaissé
Des ficèles non résolus un chagrin qui dura pour des temps
J’ai passé du temps et du temps a pensé a vous
A combattre toutes idées qui te rend coupable
Et à me convaincre que le problème n’est nulle part
Il est en moi
Par ou je commence ? Je te fais rire, je te fais jouir,
Tu sais, la récompense que me réserve la nature se trouve en toi
Cette beauté embaumée par la vérité qui donne un gout a mes désirs
J’étais tellement gentil que je n’oublierais jamais ta gentillesse
Tellement amoureux que je n’oublierais jamais ton amour
Y’aura toujours ta signature car t’es la première sur mes terres
Je men fou de tes qualités ou tes défauts ou bien ton charme
Car ce n’est pas eux qui m’ont donné l’étincelle de t’aimer
C’est cette première impression qu’a mit le feu
Je t’es tant aimé que même j’ai oublié la façon d’aimer
N’attendez pas une rime qui comblera votre joie
Car ce sont les raisins de mes souffrances
Je cherchais partout tes ficelles pour recoudre ma voie
Nulle par ou je m’en aille sans ma voie je suis là ou j’étais
Je me sens épuisé ces pensées que j’essaie de refouler m’ont fatigué
Je salue ton honneur, quand est-ce que je le reverrai?
Je cherche toujours un titre pour ce drame, quand est c que je le reverrais
Je me suis douté mais j’étais inconscient pardons mais il est déjà en retard
Surement je lui accorde une faveur, je lui donne un délai qui finira quand je t’oublierais à jamais
Serai-je un traitre ? si je ne l’attendais pas, je sais bien qu’il est enfermé dans l’obscurité
Ton obscurité à peine dévoilée, effrayante comme ta beauté est toujours fascinante
Ce que j’écris est tellement tragique on parle d’un honneur perdue
Elle a délaissé ces sentiments pour banaliser la vérité
Malgré tout ça j’ai opté pour l’amour non pas la haine que tu méritais
Mes convictions se doutent que tu étais obnubilée par tes projections
Tes considérations mal-réfléchies t’ont doré la pilule
Vous cherchiez l’éternité alors que vous tombez dans l’abolition
Ces pensées fugitives que tu as recommandé, c’est rare que l’on admette la garantie des intellects éphémères
Certes, on est censé faire comme ça car on obéie à sa destiné
Tromper, jouer, trahir : les secrets d’amour
Mon dément l’appelait sagesse, il avait des raisons pour la croire