Valantine
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Publications sur Toute La Poésie
AMOUR
12 août 2013 - 09:57
Amour, tu me rends folle
Mais tu m'intrigue
Quand je te survole.
Tu es un sentiment de joie,
Tu es un sentiment de peine,
Je suis en émoi
Devant ton génie de metteur en scène.
Amour, je t'attend nuits et jours
Et je te regrette tant
Après être passé en coup de vent.
Pour résumer ce discours
Amour,
Tu restera dans mon coeur pour toujours.
À mon cher père
25 juillet 2013 - 10:18
Nos si bon moments
Ceux, rappelle toi,
Où je me trouvais dans tes bras.
Et puis au fil du temps
Nôtre fusion se décompose
J'en souffre et toi aussi je suppose.
Toute ma rancoeur,
Toute ma colère et mes reproches
Se sont dissous avec le temps
J'en pleure encore
Quand je me remémore tous nos bon moments.
Pap's, Benoît, clown, papa
Ont été tes surnoms pendant un temps
Le jour où je t'ai revu,
Seulement deux semaines plus tard,
Je t'ai vu amaigri, au teint blafard
Je voyais bien
Sur ton visage meurtri
Le tour de main
De la maladie.
Aujourd'hui,
Je cherche le courage
De te dire enfin
Les mots de mon esprit
"je t'aime papa"
Mystère de l'amour
25 juillet 2013 - 01:44
Un regard à suffi
Pour éveiller mes jours,
Pour éclairer mes nuit
Mystère de l'amour
Que viennent les beaux jours
Qui sont à nous, promis
Levons nos verres
Pour porter toast à la vie
Un sourir, Un regard
On écrit ce poème
Et sans aucun égard
On signé d'un "je t'aime".
un ouragan d'émotions
24 juillet 2013 - 10:01
Lorsqu'on a plus d'armes
C'est accepter l'idée
De se dévoiler
Se laisser emporter
Par ses émotions
C'est comme naviguer
Sur une mer plaine de passion
Exprimer sa joie,
Exprimer se peine,
Est-ce un exploit
De le faire sans gêne?
Et la mer et l'amour
23 juillet 2013 - 03:51
Et la mer et l'amour ont l'amer pour partage,
Et la mer est amère, et l'amour est amer,
L'on s'abîme en l'amour aussi bien qu'en la mer,
Car la mer et l'amour ne sont point sans orage.
Celui qui craint les eaux, qu'il demeure au rivage,
Celui qui craint les maux qu'on souffre pour aimer,
Qu'il ne se laisse pas à l'amour enflammer,
Et tous deux ils seront sans hasard de naufrage.
La mère de l'amour eut la mer pour berceau,
Le feu sort de l'amour, sa mère sort de l'eau
Mais l'eau contre ce feu ne peut fournir des armes.
Si l'eau pouvait éteindre un brasier amoureux,
Ton amour qui me brûle est si fort douloureux,
Que j'eusse éteint son feu de la mer de mes larmes.
Pierre de Marbeuf, Recueil des vers