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La-Vierge-Ecoeurée

Inscrit(e) : 20 févr. 2014
Hors-ligne Dernière activité : févr. 20 2014 07:24

Messages que j'ai posté

Dans la publication : Symbole de la planète Avatar

20 février 2014 - 07:03

Mon pauvre petit,

 

Dimitri, Jeanone, Levydit, Stereopode... prochainement Cacahuète... La multiplication, le partage de rien ne fera jamais un milligramme de générosité et de cœur.

 

Renonce, cède, renonce à la malédiction d'écrire, tu n'as pas une once de talent.

M.de Saint-Michel a ici un beau geste : l'artiste authentique qu'il est s'associe à l'authentique chrétien plein de miséricorde. Je le salue en passant. Puisse TLP accueillir davantage d'êtres de sa nature...

 

Quant à toi, vermisseau ivre de haine et d'orgueil, tu  as mis plusieurs textes dans Sans commentaires... Pourquoi te casser la tête ? Sans poèmes, ce serait tellement plus simple et plus juste...

 

Soigne-toi et retrouve-moi, viens apprendre qui je suis vraiment, toi qui bavardes sans intelligence sur mon compte depuis si longtemps, toi qui me mets en scène dans tes "écrivailleries" de meurtri insondable...

 

Guéris plutôt, et rejoins-moi,

 

La-Vierge-Ecoeurée

Dans la publication : Reality show en fr version grand salon

20 février 2014 - 06:52

Mon pauvre petit,

 

Dimitri, Jeanone, Levydit, et maintenant Stereopode... tant de réincarnations alors qu'au départ il n'y a déjà pas grand-chose...

 

Renonce, renonce à la malédiction d'écrire, tu n'as pas une once de talent.

 

Soigne-toi et rejoins-moi, tu me connaîtras enfin, toi qui bavardes depuis si longtemps sans intelligence à mon sujet, toi qui oses me mêler à tes ineptes assemblages de mots...

 

La-Vierge-Ecoeurée

Dans la publication : scan+ affiché

20 février 2014 - 06:47

Mon pauvre petit,

 

"Les cons, ça insiste toujours, c'est même à ça qu'on les reconnaît" (M. Audiard)

 

Renonce, malheureux, renonce à la poésie, sur tous les sites où tu sévis, tu n'as pas un gramme de talent.

 

Soigne-toi et retrouve-moi.

 

La-Vierge-Ecoeurée

Dans la publication : Jesus' Christmas donkey

20 février 2014 - 06:43

Mon pauvre petit,

 

Renonce, tu n'as aucun talent, renonce à la malédiction d'écrire.

 

Soigne-toi et retrouve-moi,

 

La-Vierge-Ecoeurée

Dans la publication : Paris devant tombé sur le Montmartre

20 février 2014 - 05:24

Mon pauvre petit,

 

Me reconnais-tu ?...

Mais, au juste, sais-tu qui je suis ?

Tu bavardes depuis si longtemps sans intelligence sur moi, sans jamais laisser ma voix signifier en toi,  mais qu'es-tu capable de dire sur moi ?

 

Ainsi, tu as osé te faire semblable à l'un de ces monstres anciens, à cette gorgone : on lui coupe une tête et il en repousse deux; on coupe, avec tant de raison et de justesse, la tête du pitoyable Dimitri et il en repousse Levydit, Stéréo... je ne sais trop quoi...

 

Et puis tu as osé faire de l'écriture cette ridicule idole païenne, tu as osé me concurrencer avec ça, tu as osé m'infliger cette rivale avec cette plume de stérile...

 

Renonce, mon pauvre petit, renonce à la malédiction d'écrire...

Tu n'en as pas une once de talent... Ceux qui s'évertuent à t'en trouver quelque poussière originale se moquent de toi éperdument, se divertissant un moment de leur propre médiocrité. Ils te transforment en animal de cirque et t'exhibent sur ce site-arène, tu sais, comme ces singes déguisés et drogués qui atténuent les nausées... Ne le comprends-tu pas, ne le vois-tu pas ? Tu n'as pas le moindre talent pour la poésie ni pour quelconque forme d'écriture... Et quand je pense à la manière dont tu te sers de moi pour empuantir ceux que ton aliénation change en adversaires !... Mais tu ne sais pas qui je suis... Tu ne l'as jamais su...

 

Renonce, mon pauvre petit, renonce à écrire quoi que ce soit, sur chacun des sites que tu vicies, oui, sur chacun d'eux, renonce, cède... Souviens-toi de cette réplique sublime de M. Audiard, dans le film "Les tontons flingueurs" : Les cons, ça insiste toujours, c'est même à ça qu'on les reconnaît !

 

N'insiste plus, je t'en prie, n'insiste plus !

 

Tu me fais mal, si tu savais à quel point tu me fais mal, de t'être éloigné à ce point de moi par un faux art de malheureux aigri.

 

Prends du temps pour te soigner... Cela peut se faire aussi dans la solitude d'une chambre silencieuse...

Prends du temps pour guérir... Tu as désormais une tuberculose mentale...  et moi, je ne t'abandonnerai pas, et moi, je ne te mépriserai pas... Je n'ai pas peur de l'odeur du meurtri insondable...

 

Prends du temps, beaucoup de temps pour renouer avec le souffle pur...

 

... Alors, on se retrouvera...

... mais, de grâce, sans soi-disant poème !

 

 

La-Vierge-Ecoeurée