Aller au contenu

Lex-A

Inscrit(e) : 24 avril 2014
Hors-ligne Dernière activité : janv. 04 2018 01:56

Publications sur Toute La Poésie

conte alphabétique

07 décembre 2015 - 07:37

ERROR QUATRECENTSQUATRE

SMS a pénitente - Potence inversée

27 mai 2014 - 11:36

Cruauté au destin d'interpréter l'hypothèse

 

/* Ici : vide ontologique */

 

Autrefois on croyait entendre les dieux dans le bruissement des feuilles. Aujourd'hui tout bruit à ta suite dans le souvenir du bronze. Et les semeurs d'huile jettent leurs semailles Se penchent les mains vides Formant chemin Chemin

Déjà passé passant toujours

Chemin mort-né

De ceux qui capitulent

De te savoir passée De ne te pouvoir voir
 

Ainsi la lumière

 

Et bienheureux ceux qui bientôt te jugeront

Car en ce jour ils connaîtront deux aubes

Partie I (ébauche effondrée)

13 mai 2014 - 08:28

j'ai pris une rasade de No: 7
je vois tout en doublon
je me perds dans la brume
mais c'est ce que j'aime
du No:7, j'en prendrai encore

bibi 2014

Ebauche du titre I

13 mai 2014 - 08:22

Voilà le clair  matin, ô saine rosée

Tu titilles le velouté de ma suave rose

Et ma main de satin n’ose bousculer

L’amour frais que mon cœur te dépose

 

Les légumes de printemps forment

Des armées prêtes à vaincre la terre

Leur  feuillage s’anime sous les ormes

Quand  le vent  tresse leur  verte crinière

 

Mes yeux tapissent le cerisier nouveau

De la fluette pureté fleurie du délice léger

Je hume  au fond de ma main le flot

De pétales qui m’accueille prince héritier

 

Les années passent, mais l’ivresse

De mon joli jardin éblouit  le candide

De mon esprit  traversant la noblesse

De ces parterres  incarnant danaïdes

 

Là quelques pâquerettes étrangères

Signent leur éclosion au blanc d’amitié

Leur petite tête se cache, tête altière

Au devers d'une herbe par trop malaisée

 

une touffe de terre de son profond s'est levée

Dans l'étrange ballet d'un volcan sans éclat

Il laisse soin à un petit pointu nez de surélever

Ma pensée médusée par cet hérisson qui là  me défia

 

Au contre-jour  d’une ramure perchée

Une gentille tourterelle, gaie me sifflotât

Son bonjour des beaux matins ciselés

Guilleret je l’accompagnais d'un sifflet de féria

☼ƑƇ

Ebauche du titre I

13 mai 2014 - 08:22

Voilà le clair  matin, ô saine rosée

Tu titilles le velouté de ma suave rose

Et ma main de satin n’ose bousculer

L’amour frais que mon cœur te dépose

 

Les légumes de printemps forment

Des armées prêtes à vaincre la terre

Leur  feuillage s’anime sous les ormes

Quand  le vent  tresse leur  verte crinière

 

Mes yeux tapissent le cerisier nouveau

De la fluette pureté fleurie du délice léger

Je hume  au fond de ma main le flot

De pétales qui m’accueille prince héritier

 

Les années passent, mais l’ivresse

De mon joli jardin éblouit  le candide

De mon esprit  traversant la noblesse

De ces parterres  incarnant danaïdes

 

Là quelques pâquerettes étrangères

Signent leur éclosion au blanc d’amitié

Leur petite tête se cache, tête altière

Au devers d'une herbe par trop malaisée

 

une touffe de terre de son profond s'est levée

Dans l'étrange ballet d'un volcan sans éclat

Il laisse soin à un petit pointu nez de surélever

Ma pensée médusée par cet hérisson qui là  me défia

 

Au contre-jour  d’une ramure perchée

Une gentille tourterelle, gaie me sifflotât

Son bonjour des beaux matins ciselés

Guilleret je l’accompagnais d'un sifflet de féria

☼ƑƇ