Lex-A
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J'édifie
Je me souviens
Ce dont il est affaire
Le procès de la réalité
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conte alphabétique
07 décembre 2015 - 07:37
SMS a pénitente - Potence inversée
27 mai 2014 - 11:36
Cruauté au destin d'interpréter l'hypothèse
/* Ici : vide ontologique */
Autrefois on croyait entendre les dieux dans le bruissement des feuilles. Aujourd'hui tout bruit à ta suite dans le souvenir du bronze. Et les semeurs d'huile jettent leurs semailles Se penchent les mains vides Formant chemin Chemin
Déjà passé passant toujours
Chemin mort-né
De ceux qui capitulent
De te savoir passée De ne te pouvoir voir
Ainsi la lumière
Et bienheureux ceux qui bientôt te jugeront
Car en ce jour ils connaîtront deux aubes
Partie I (ébauche effondrée)
13 mai 2014 - 08:28
j'ai pris une rasade de No: 7
je vois tout en doublon
je me perds dans la brume
mais c'est ce que j'aime
du No:7, j'en prendrai encore
bibi 2014
Ebauche du titre I
13 mai 2014 - 08:22
Voilà le clair matin, ô saine rosée
Tu titilles le velouté de ma suave rose
Et ma main de satin n’ose bousculer
L’amour frais que mon cœur te dépose
Les légumes de printemps forment
Des armées prêtes à vaincre la terre
Leur feuillage s’anime sous les ormes
Quand le vent tresse leur verte crinière
Mes yeux tapissent le cerisier nouveau
De la fluette pureté fleurie du délice léger
Je hume au fond de ma main le flot
De pétales qui m’accueille prince héritier
Les années passent, mais l’ivresse
De mon joli jardin éblouit le candide
De mon esprit traversant la noblesse
De ces parterres incarnant danaïdes
Là quelques pâquerettes étrangères
Signent leur éclosion au blanc d’amitié
Leur petite tête se cache, tête altière
Au devers d'une herbe par trop malaisée
une touffe de terre de son profond s'est levée
Dans l'étrange ballet d'un volcan sans éclat
Il laisse soin à un petit pointu nez de surélever
Ma pensée médusée par cet hérisson qui là me défia
Au contre-jour d’une ramure perchée
Une gentille tourterelle, gaie me sifflotât
Son bonjour des beaux matins ciselés
Guilleret je l’accompagnais d'un sifflet de féria
☼ƑƇ
Ebauche du titre I
13 mai 2014 - 08:22
Voilà le clair matin, ô saine rosée
Tu titilles le velouté de ma suave rose
Et ma main de satin n’ose bousculer
L’amour frais que mon cœur te dépose
Les légumes de printemps forment
Des armées prêtes à vaincre la terre
Leur feuillage s’anime sous les ormes
Quand le vent tresse leur verte crinière
Mes yeux tapissent le cerisier nouveau
De la fluette pureté fleurie du délice léger
Je hume au fond de ma main le flot
De pétales qui m’accueille prince héritier
Les années passent, mais l’ivresse
De mon joli jardin éblouit le candide
De mon esprit traversant la noblesse
De ces parterres incarnant danaïdes
Là quelques pâquerettes étrangères
Signent leur éclosion au blanc d’amitié
Leur petite tête se cache, tête altière
Au devers d'une herbe par trop malaisée
une touffe de terre de son profond s'est levée
Dans l'étrange ballet d'un volcan sans éclat
Il laisse soin à un petit pointu nez de surélever
Ma pensée médusée par cet hérisson qui là me défia
Au contre-jour d’une ramure perchée
Une gentille tourterelle, gaie me sifflotât
Son bonjour des beaux matins ciselés
Guilleret je l’accompagnais d'un sifflet de féria
☼ƑƇ