Aller au contenu

Louis Severac

Inscrit(e) : 10 févr. 2017
Hors-ligne Dernière activité : mars 26 2017 02:34

Publications sur Toute La Poésie

En bord de Seine. Fatrasie.

25 mars 2017 - 08:25

J’emmenais mon amie une belle Italienne

En amoureux marcher sur les bords de la Seine

Malgré le ciel couvert et l’approche du soir

Avant que le brouillard de la nuit ne survienne

Nous allions lentement et sa main dans la mienne

Sur le premier banc vert nous allâmes s’asseoir.

 

Je la pris dans les bras le coeur empli d’espoir

Ma cuisse gentiment accolée à la sienne

Que sensible à mes mots en guise de bonsoir

Dans un geste d’amour, tendrement elle vienne

M’attirer sur ses seins comme un doux reposoir.

En bord de Seine. Fatrasie.

25 mars 2017 - 07:38

J’emmenais mon amie une belle Italienne

En amoureux marcher sur les bords de la Seine

Malgré le ciel couvert et l’approche du soir

Avant que le brouillard de la nuit ne survienne

Nous allions lentement et sa main dans la mienne

Sur le premier banc vert nous allâmes s’asseoir.

 

Je la pris dans les bras en caressant l’espoir

Ma cuisse gentiment accolée à la sienne

Que sensible à mes mots en guise de bonsoir

Pour mieux sentir l’amour, tendrement elle vienne

M’attirer sur ses seins comme un doux reposoir.

Amour d'été

20 mars 2017 - 04:22

Du plus loin que mon cœur aujourd’hui s’en souvienne

Nous avons habité des mondes fabuleux

Sablés de rouge et d’ambre et noyés d’ombre bleue

Dans le grisant parfum de nos amours anciennes.

 

Le soleil de l’été au travers des persiennes

Au moment de midi en chauds rayons de feu

Seul habillait sa peau de ses traits lumineux

Dans la lourde torpeur de l’heure méridienne.

 

C’est alors pour lui plaire employant l’art d’aimer

Que par des mots d’amour je venais enflammer

Tous les désirs secrets qui habitent en la femme

 

Puis comme récompense, ayant su marier

Les voluptés du corps à la douceur de l’âme

Je goûtais dans ses bras au repos du guerrier.

A Edwina

18 mars 2017 - 09:47

Si je pouvais savoir ce que ton cœur recèle

Et lire au fond de lui où est mon avenir

Je saurais du futur ce qu’il va advenir

De l’amour qui pour toi aujourd’hui m’ensorcelle.

 

Dans tes yeux j’imagine brillent des étincelles

Dont j’ai peur qu’elles ne soient dans les temps à venir

En mon cœur amoureux l’unique souvenir

De mon espoir déçu que chaque instant rappelle.

 

Tu es comme la brume, qui se lève à l’aurore

Puis aux feux du soleil ensuite s’évapore

Mais lorsque je serai devenu ton amant

 

Autre que virtuel, alors chaque caresse

Fera vibrer ta peau, prélude du moment

Où ton corps frémira quand tu crieras d’ivresse.

Etre 5441

16 mars 2017 - 10:49

Etre ton chéri

Ton bon ami              

Ou ton mari,

Oui !

 

Ton bel étalon

Ton polisson

Ton grand garçon,

Bon !

 

Ton amant flambard

Ou ton jobard

Ou ton loubard

Voire !

 

Mais ta salopette

Ou ta lopette

Ou ta carpette,

Non !