Tic tac ; Tic tac
Elle tourne toujours ; plus bruillante et plus coriace
Tic tac ; Tic tac
Elle dance devant moi. Madame, quelle classe !!!
De gauche à droite; ou de droite en gauche.
Mon regard somnambulique, mais je m’accroche
Clic Clac ; Clic Clac
Des pas hésitants des pas ambulants
Clic Clac ; Clic Clac
Je les faufile entre les passants ;
Pressés; décidés, ils avancent sans se retourner.
Seuls mes petits pas perdus, ne savent où aller…
DIVA
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Au son des cliquetis
10 janvier 2008 - 11:35
Et si je disais...
05 janvier 2008 - 12:49
Et si je disais je t’aime !!
Et si je t’offrais mes poèmes
Où tu es les vers et la muse
Qui me tourmente et s’amuse
Se promène de vers en vers
Hante mon esprit ; mon univers
Et si je plantais mon amour dans ta terre
Une fleur qui respire ton air ;
Vis sous le clair de ton ciel ;
Une fleur douce ; fleur sauvage ; fleur rebelle
Saurais-tu être le rouge de ses pétales
Rouge de ton sang qui coule dans ses veines
Qui monte des racines, et longe tout son corps
Comme un océan, comme un ouragan
Un vent qui souffle dans sa vie, fort, très fort
Aimerais-tu être son « blanc » ?
Blanc de neige, blanc d’amour ;
Blanc de la paix dans tes bras ;
Comme la lune qui garde ses soirs
Comme le vide de sa première histoire
Et que dirais tu de son jaune ?
Jaune de la peur, de la frayeur
Ecoute son cœur qui frissonne
A l’idée d’une présence factice, et de l’absence dure
Un sentiment qui la saisit et qui dure
En attendant que ton soleil rayonne
Dans son cœur pour toujours
Et si ton soleil s’éloignait
Sous d’autres cieux, elle fanerait…
La laisserais tu faner ??
Et si tes yeux cessaient de la réchauffer
L’abandonnerais tu geler ?
Au froid de la solitude grossière ??
Elle qui a naquit sur ta terre
Et qui n’a respiré d’autres airs
Elle qui répète ton nom tous les matins
Elle qui a fait de toi son destin
Et si tes mains cessaient de la couver ??
Elle qui n’a goûté à d’autres vents
Elle qui connait ta chaleur ; qui la sent
Sur ses feuilles quand tu les touche
Ce sentiment serein, tantôt farouche
Elle qui dessine si bien ta bouche
Ton souffle, quand tu l’embrasses ;
Quand tu l’enlace…
Fragile, elle et tu la laisses ??
*** ***
Loin des yeux loin du cœur diton
Rassure la, que ce n’est qu’un vieux dicton
Que ton amour comme elle ;
Profond profond ; tient au tréfonds ;
Dans mon cœur sans fond
Que je suis ton amour, ta femme, ta maman
Que cet amour n’est pas un conte pour enfants
Que si tu t’éloignes, le temps d’un hiver
Je me réveillerai le printemps
Sur le son de tes pas, près de moi, vers moi
Ton retour est ma résurrection
Pour me sortir de ma tombe
…Ta terre ; où je m’enterrerai volontiers
Car sans toi, je suis néant, je suis une ombre.
Je suis une âme sans esprit ; ou un esprit vagabond
Je suis le fantôme d’une femme
Je suis les cendres d’une flamme ;
Je suis un crocus d’automne qui tombe à tes pieds ;
Te pencherais-tu pour le soulever
Et si je disais :
Je t’aime ; je t’aime ; je t’aime …….
Et si je t’offrais mes poèmes
Où tu es les vers et la muse
Qui me tourmente et s’amuse
Se promène de vers en vers
Hante mon esprit ; mon univers
Et si je plantais mon amour dans ta terre
Une fleur qui respire ton air ;
Vis sous le clair de ton ciel ;
Une fleur douce ; fleur sauvage ; fleur rebelle
Saurais-tu être le rouge de ses pétales
Rouge de ton sang qui coule dans ses veines
Qui monte des racines, et longe tout son corps
Comme un océan, comme un ouragan
Un vent qui souffle dans sa vie, fort, très fort
Aimerais-tu être son « blanc » ?
Blanc de neige, blanc d’amour ;
Blanc de la paix dans tes bras ;
Comme la lune qui garde ses soirs
Comme le vide de sa première histoire
Et que dirais tu de son jaune ?
Jaune de la peur, de la frayeur
Ecoute son cœur qui frissonne
A l’idée d’une présence factice, et de l’absence dure
Un sentiment qui la saisit et qui dure
En attendant que ton soleil rayonne
Dans son cœur pour toujours
Et si ton soleil s’éloignait
Sous d’autres cieux, elle fanerait…
La laisserais tu faner ??
Et si tes yeux cessaient de la réchauffer
L’abandonnerais tu geler ?
Au froid de la solitude grossière ??
Elle qui a naquit sur ta terre
Et qui n’a respiré d’autres airs
Elle qui répète ton nom tous les matins
Elle qui a fait de toi son destin
Et si tes mains cessaient de la couver ??
Elle qui n’a goûté à d’autres vents
Elle qui connait ta chaleur ; qui la sent
Sur ses feuilles quand tu les touche
Ce sentiment serein, tantôt farouche
Elle qui dessine si bien ta bouche
Ton souffle, quand tu l’embrasses ;
Quand tu l’enlace…
Fragile, elle et tu la laisses ??
*** ***
Loin des yeux loin du cœur diton
Rassure la, que ce n’est qu’un vieux dicton
Que ton amour comme elle ;
Profond profond ; tient au tréfonds ;
Dans mon cœur sans fond
Que je suis ton amour, ta femme, ta maman
Que cet amour n’est pas un conte pour enfants
Que si tu t’éloignes, le temps d’un hiver
Je me réveillerai le printemps
Sur le son de tes pas, près de moi, vers moi
Ton retour est ma résurrection
Pour me sortir de ma tombe
…Ta terre ; où je m’enterrerai volontiers
Car sans toi, je suis néant, je suis une ombre.
Je suis une âme sans esprit ; ou un esprit vagabond
Je suis le fantôme d’une femme
Je suis les cendres d’une flamme ;
Je suis un crocus d’automne qui tombe à tes pieds ;
Te pencherais-tu pour le soulever
Et si je disais :
Je t’aime ; je t’aime ; je t’aime …….