Trop souvent est frôlée la surface des temps
À la saveur des larmes
Du passé.
S’éteint alors l’écho des songes repentant
Cet amer goût du charme
Trépassé.
Et s’éloigne la voie de ces pas assourdis
À laquelle s’adonne
Les laquais;
Pas à pas construisant de pâles paradis
Où on y abandonne
Qui l’on est…
Vae_soli
Inscrit(e) : 01 juin 2003Hors-ligne Dernière activité : mai 12 2010 03:59