Quelle autre femme pourrait être aimée comme toi ?
Ou comment l'amour pourrait-il se rassasier de toi ?
Après les plus. Ineffables ravissements,
Comme au fond d'une profonde avenue.
On voit briller une lueur de jour, qui appâtait »
Au fond de tes yeux, un désire encor plus intense,
Un feu tel que celui que les mains de l'amour.
Dérobe à son plus ardent foyer de lumière et de rosée.
Le voyageur qui triomphe avec le soleil,
Et qu'enivre la chaleur de midi est sensible pourtant.
Aux merveilles qu'apporte la marée des étoiles
Et trouvent encore d'autres extases.
Dans la naissance des heures limpides et légères de
L'aube ; — Ainsi par tes yeux et ta voix ton âme.
chénier
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L'aube ; — Ainsi par tes yeux et ta voix ton âme.
09 juillet 2007 - 04:59
à travers son regard embrumé
16 juin 2007 - 09:07
Réchauffer par sa main, si ombreuse par ses cheveux,
Tandis que penchée sur moi ,Elle répandait son coeur
à travers les lignes, de mon destin , et ses brûlantes lèvres
que des soupirs distincts, accompagnaient sur mon corps
Un flot de pureté , fait ressortir sa blancheur,
Doux corps céleste, que j’aurais même senti son, souffle,
Amour ! Laisse ta chanson silencieuse me révéler ton âme
Alors je rentrerais en communion avec tes lèvres et tes yeux.
J'aurais bien voulu la contempler, dans sa volupté
Quand une pensée d'amour bousculait ses vers plus près de son écrit,
Alors que les mouvement de son coeur, racontaient ces douces confidences.
Quand, à travers son regard embrumé, un instant levé, sur son âme
Cherchait ma pensée amoureuse, et que de cette subite rencontre
Naîtra la plus universelle expression de notre amour.
Tandis que penchée sur moi ,Elle répandait son coeur
à travers les lignes, de mon destin , et ses brûlantes lèvres
que des soupirs distincts, accompagnaient sur mon corps
Un flot de pureté , fait ressortir sa blancheur,
Doux corps céleste, que j’aurais même senti son, souffle,
Amour ! Laisse ta chanson silencieuse me révéler ton âme
Alors je rentrerais en communion avec tes lèvres et tes yeux.
J'aurais bien voulu la contempler, dans sa volupté
Quand une pensée d'amour bousculait ses vers plus près de son écrit,
Alors que les mouvement de son coeur, racontaient ces douces confidences.
Quand, à travers son regard embrumé, un instant levé, sur son âme
Cherchait ma pensée amoureuse, et que de cette subite rencontre
Naîtra la plus universelle expression de notre amour.
Ces amours adorés de cœurs enlacés, je les avais vus tout ensemble.
02 juin 2007 - 10:27
Ces amours adorés de cœurs enlacés, je les avais vus tout ensemble.
La Vérité aux lèvres innocentes,et l'Espérance vers ce ciel,
Le Triomphe dont les ailes battantes allument les flammèches du passé,
Et les ravive en flambeaux lumineux qui affolent le vol de l'Oubli.
Son épaule dorée par ses cheveux dorés qu'y laissa son dernier enlacement
Et sa crinière encore tressant des enlacements dont la Mort se fardera,
Dans l’infini se trouvait la Couronne de l'Amour, si haute qu'elle défie
Les furieuses tornades de l'Adieu et du Revoir.
Elle s’érigeait dans un bois que nul alizé ne trouble,
Et si dissimulés que je ne soupçonnais pas sa splendeur
Malgré cela, ses désirs dévoileront le siège de son Amour.
l'Espérance sera sa ferveur amoureuse, et notre vie enlacée ensemble.,
La jeunesse de son corps si chère, et les caresses sur sa peau si douce.
Ô Amour tu es cette fontaine, ou s’écoulent tes passions amoureuses.
La Vérité aux lèvres innocentes,et l'Espérance vers ce ciel,
Le Triomphe dont les ailes battantes allument les flammèches du passé,
Et les ravive en flambeaux lumineux qui affolent le vol de l'Oubli.
Son épaule dorée par ses cheveux dorés qu'y laissa son dernier enlacement
Et sa crinière encore tressant des enlacements dont la Mort se fardera,
Dans l’infini se trouvait la Couronne de l'Amour, si haute qu'elle défie
Les furieuses tornades de l'Adieu et du Revoir.
Elle s’érigeait dans un bois que nul alizé ne trouble,
Et si dissimulés que je ne soupçonnais pas sa splendeur
Malgré cela, ses désirs dévoileront le siège de son Amour.
l'Espérance sera sa ferveur amoureuse, et notre vie enlacée ensemble.,
La jeunesse de son corps si chère, et les caresses sur sa peau si douce.
Ô Amour tu es cette fontaine, ou s’écoulent tes passions amoureuses.
Par un sourire dans une brume amoureuse,
01 juin 2007 - 09:33
Cette pâleur sans feu ni lieu et qui se cache
Par un sourire dans une brume amoureuse,
Je lui aurais offert mon cœur, avec une telle grandeur
Et ce coeur, creuse un sillon sur son visage.
Alors oui j'aurais su retrouver son amour
Dans le firmament, de sa pensée compatissante
Dévoilant ses plus belles fleurs qui ne meurent jamais :
Mais j’aurais vu encor cette nudité, dans l’image de l’amour.
Chaque vision céleste, est une humble goutte d'eau de fleur
De chaque passion, naquit l'amour éternel
Être auprès d’elle, et je lui aurais parlé, de notre fusion amoureuse.
Elle a habillé, son plus beau regard,
Et elle a dit dans ce silence, nous serons deux pour l’éternité :
À quelles distances des astres, mon amour sera si fidèle de toi ?
Par un sourire dans une brume amoureuse,
Je lui aurais offert mon cœur, avec une telle grandeur
Et ce coeur, creuse un sillon sur son visage.
Alors oui j'aurais su retrouver son amour
Dans le firmament, de sa pensée compatissante
Dévoilant ses plus belles fleurs qui ne meurent jamais :
Mais j’aurais vu encor cette nudité, dans l’image de l’amour.
Chaque vision céleste, est une humble goutte d'eau de fleur
De chaque passion, naquit l'amour éternel
Être auprès d’elle, et je lui aurais parlé, de notre fusion amoureuse.
Elle a habillé, son plus beau regard,
Et elle a dit dans ce silence, nous serons deux pour l’éternité :
À quelles distances des astres, mon amour sera si fidèle de toi ?