ah salutions, avé ô grand aventurier du rien métaphysique et de la série éternelle ! Aurais-tu développé une théorie générale de la fessée incluant anciens et modernes tout en passant par le bon Jean-Jacques ? Je dois avouer : sinon le coté incontestablement sériel de la fessée qui se pratique généralement en quinte, ça m'échappe !Certes ! Mais il me faudrait quand même pas minimiser là fessee...(salut harry !)
Harry
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Dans la publication : Notes sur les notions de poésie et révolution
07 avril 2011 - 10:45
Dans la publication : Notes sur les notions de poésie et révolution
07 avril 2011 - 07:44
Bien vu ! (le texte et les ritournelles).
A propos de Rousseau : devenu paranoïaque sur la fin mais ce fut un génie visionnaire. D'une éloquence sans pareille il a écrit le Contrat Social. Rien que ça, ça vaut !
A propos de Rousseau : devenu paranoïaque sur la fin mais ce fut un génie visionnaire. D'une éloquence sans pareille il a écrit le Contrat Social. Rien que ça, ça vaut !
Dans la publication : Absurde poésie
22 mars 2008 - 02:23
Bonjour et merci à tous.
J'ai écrit ça après la lecture d'un poème qui était une sorte d'exaltation panthéiste d'homme occidental repu et j'ai trouvé ça révoltant.
On a droit à l'espoir et on peut le crier en poésie bien sûr mais ne pas tenir compte du tragique du monde me semble une position non admissible et cela devrait être le point de départ de toute poésie (bon je suis un peu trop radical là , sorry !).
Bref si on veut parler de belle chose, il faut le faire avec une vitalité créatrice, un peu comme dans le texte de Pascal tout à l'heure.
Bon tout cela est parfaitement partiel et réfutable sans doute, comme d'habitude, en quelque sorte c'est une modeste participation à l'absurde intrinsèque des choses de ce monde, désolé.
J'ai écrit ça après la lecture d'un poème qui était une sorte d'exaltation panthéiste d'homme occidental repu et j'ai trouvé ça révoltant.
On a droit à l'espoir et on peut le crier en poésie bien sûr mais ne pas tenir compte du tragique du monde me semble une position non admissible et cela devrait être le point de départ de toute poésie (bon je suis un peu trop radical là , sorry !).
Bref si on veut parler de belle chose, il faut le faire avec une vitalité créatrice, un peu comme dans le texte de Pascal tout à l'heure.
Bon tout cela est parfaitement partiel et réfutable sans doute, comme d'habitude, en quelque sorte c'est une modeste participation à l'absurde intrinsèque des choses de ce monde, désolé.
Dans la publication : Alea
22 mars 2008 - 11:28
Mais ce chevalier me semble plein de panache et de vitalité, ce qui sont d'autres noms de l'espoir.Ne faut-il pas toujours rechercher la lueur?
L'espoir est plus chevilléau corps que nous le pensons... Non?
Dans la publication : Dans la vie on ne fait rien moins qu'attendre
22 mars 2008 - 11:11
Il y a de l'intelligence dans ces propos, qui fait que ce texte est une lecture agréable.