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Vasavoirsi

Inscrit(e) : 21 juil. 2006
Hors-ligne Dernière activité : juin 07 2007 10:56

Messages que j'ai posté

Dans la publication : Les horreurs et les delires.

12 mars 2007 - 09:33

Je ne vois pas pourquoi je devrais faire quelque chose que j'ai dèja rêvé.


Pour le plaisir de le refaire. Tu sais, comme dans un exemple enfantin, avoir peur en haut d'une pente enneigée, hésiter à se lancer, et puis le faire, descendre à fond, éprouver toutes les émotions qui te submergent et au final, rire, parce que c'était génial.
C'est là à cet exact moment, la sensation de devoir recommencer parce que punaise c'était vraiment trop bon.

Il y a des choses qui sont là pour le bis répétita.

Dans la publication : Les horreurs et les delires.

12 mars 2007 - 09:29

Le problème du fou c'est qu'il est honnête devant la schizophrénie.


Mon petit frère est schzizophrène et poête. J'aime ce qu'il écrit même si je trouve cela trop noir.
Je me dis qu'avec le temps, il y aura sûrement des mots sur les sourires et le bonheur.

Mais je ne suis pas schzizophrène.

Dans la publication : Surréalisme.

06 mars 2007 - 08:14

Les petits enfants me feraient presque oublier la géometrie des villes.



Cela me rappelle un de mes sujets quand j'étais étudiante à la sorbonne.

Dans la publication : Une histoire de Zombies

06 mars 2007 - 07:15

Faussement naïf.
Faussement.


Merci. Je me plais à jouer ainsi oui.

Dans la publication : Une histoire de Zombies

06 mars 2007 - 07:02

Quel tableau . . . Tout ça donnerait l'illusion que les couleurs sombres se muent en couleuvres chatoyantes. Que les zombies trottent comme les aiguilles d'une vie sans jamais se croiser sur le même espace - temps.
J'ai perdu la fantasmagorie quand le temps m'a pris de vitesse pour me laisser derrière lui. Le temps s'écoule, mon corps le suit . . .



J'aime l'idée de ces couleuvres chatoyantes. Serpents mordorés de couleurs agressives et dangereuses. Mais les couleuvres ne sont pas venimeuses, comme les zombis, là, ne traverseront sans doute jamais la fenêtre.
Pourquoi craint on alors leurs morsures ?

Les aiguilles avancent, toutes en parallèle, et donnent un tempo à des vies différentes.
L'une ouvre le monde bienséant, où chaque action sera guidée par la raison.
L'autre est un chaos intemporel où fondent des montres qui retardent l'échéance.

Les autres, je tairai leurs noms car je ne les ai pas encore essayé. Je reste devant cette porte distordue, dissolue dans un peu de couleur qui sort d'un tube. L'artiste a encore le pinceau en l'air.
Bientôt, il touchera la toile.

Et moi, j'embrasserai une vipère à pleine bouche.