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Publications sur Toute La Poésie

ISRAËL pleure

18 mars 2007 - 09:59

Israël,toi qui fût autrefois le peuple élu,
Tu n'es plus,aujourd'hui,qu'une pauvre peuplade déchue,
Et si Jahvé t'avait promis à la postérité,
Il reste à ce jour que trés peu d'initiés.
Du beau pays d'Egypte Moïse t'a fait sortir,
Et si,par miracle,la mer rouge t'a fait franchir,
C'est pour oublier que tu étais peuple esclave,
Et faire de chacun de vous des hommes sages.
Même le roi des rois,le tout puissant pharaon,
A du s'incliner devant le céleste Aaron.
Moïse tu as fais quitter le pays humide,
A des gens qui ne voulaient pas d'un désert aride.
Jahvé vois aujourd'hui sur le mur des lamentations,
Retomber par ta faute première tant de déceptions.
Chacune des plaintes mêlées aux bruits des batailles,
Me disent que tu es cause de cette pagaille.
Si,à l'origine,tu es le départ des guerres,
Alors pars et ne reviens jamais plus sur la terre,
Laisses les humains tenir leur futur dans leurs mains,
En priant que chaque jour amène son lendemain.

PENSEE A LA MERE PATRIE

16 mars 2007 - 10:23

Où se cache donc la Vérité de la vie?
Si ce n'est qu'en terre de la mère patrie,
Là-bas où ma pensée imagine émue,
L'endroit où a sombré pour l'éternité MU.
C'est en ce haut lieu qu'éxistait l'arbre de vie,
Dieu pour punir l'humanité,l'a engloutie,
Et toi sa fille unique Atlantide,
Tu rends les yeux de ta mère humides,
Elle avait placé en toi tous ses espoirs,
Et tu es devenue son plus grand désespoir.
Tu as fais la citée de Poséidonis,
Qui régne à jamais au fond des abysses.
Réveillez-vous chevaliers de Poséidons,
Il est grand temps de reprendre votre mission,
Si la postérité s'acquière dans la mort,
Il n'est jamais trop tard pour redresser vos torts.
A chacun son propre passé,sa destinée,
Mais de vos cendres,comme le phénix,renaissés,
Partez tous,nombreux,dans chaque grandes citées,
Crier aux humains :"Nous sommes la vérité".

SOUVENIRS

15 mars 2007 - 10:38

Ma pensée est avec ceux,qui voici bien des ans,
Quittaient femmes,amis,parents,enfants,
Courrir au-delà du lointain horizon,
L'idée d'une fameuse prise de poissons.
Nécessité de marins à pêcher la morue,
Pour cela,bien des hommes se sont perdus,
Leurs corps gisant au plus profond des eaux,
Dans l'espérance,pour l'Âme,de jours plus beaux.
Formidables marins que l'on disait islandais,
Etiez,pour vos patrons,de véritables laquais.
Abandonnant la terre pour sept longs mois,
Et tout ce qui,pour vous,retenait votre émoi.
Vos femmes,qui sur le quai,vous regardaient partir,
Avaient la peur de ne plus vous voir revenir.
Combien,parmi vous,ne sont jamais revenus?
Car,sur les flots un malheur était survenu.
Maintenant,naviguant sur des eaux plus calmes,
Vous avez monté,prés de Dieu,vos pauvres Âmes.