Effleure le printemps d'un soleil que l'on brigue,
Amante cousue d'or offerte à ce nabab.
Du fruit nouveau, toujours, pour mes yeux une figue,
D'entrevoir ton désir entre corde et niqab...
Et transparaît ta chair, liqueur de friandise,
A la pulpe juteuse où dieu aime à bander
Sous ta jupe, l'envie, de sang rouge cerise,
Et invente pour l'homme, un corps à oppresser.
Tu offres tes pudeurs, belle fleur de sycone
Qui ouvre dans mes songes, un coeur et son bas-ventre.
Est-elle fille et mère afin que d'une icône
Une femme s'enfante avant que l'on n'y entre.
Amante cousue d'or offerte à ce nabab.
Du fruit nouveau, toujours, pour mes yeux une figue,
D'entrevoir ton désir entre corde et niqab...
Et transparaît ta chair, liqueur de friandise,
A la pulpe juteuse où dieu aime à bander
Sous ta jupe, l'envie, de sang rouge cerise,
Et invente pour l'homme, un corps à oppresser.
Tu offres tes pudeurs, belle fleur de sycone
Qui ouvre dans mes songes, un coeur et son bas-ventre.
Est-elle fille et mère afin que d'une icône
Une femme s'enfante avant que l'on n'y entre.