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dommage que la nuit

Posté par jc-blondel, 21 septembre 2007 · 193 visite(s)

DOMMAGE QUE LA NUIT

Par les trous parsemés de ta fine dentelle
J’aperçois par bonheur la pointe de ton sein
Il me montre, coquin, au plus court le chemin
Pour atteindre ton cœur de charmante infidèle.

En gourmand patenté je lancerai ma main
A l’assaut de ta chair se donnant sans malice
Pour t’offrir des frissons jusqu’au petit matin.

A l’aurore venant reprendre son service
Nos deux corps finiront enfin par s’endormir
Repus et fatigués, mais ivre de plaisir
Ils garderont pour eux le goût de ce délice.

Dommage que la nuit devienne souvenir.




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