LIBERTE
Elle traine en somnambule
Sur le fil d’un vieux funambule
Celle qu’il nomme liberté.
Elle a vécu des jours immondes,
Gardé des blessures profondes
Sur son tendre corps écorchés.
Elle a coupé mille grillages,
Du subir les pires outrages
En plongeant vers l’inconnu.
Elle a forgé ses aventures
En combattant les dictatures
Pour que son nom soit reconnu.
Elle a rompu tous les silences
Défendu des droits, des présences
En cisaillant des barbelés.
Elle a fermé des camps austères
En faisant des drôles de guerres
A tous ces assassins masqués.
Elle a brisé des murs malades,
Supporté toutes les brimades
Dans un souci d’égalité.
Il faut que sa route soit belle
Pour en devenir éternelle.
Son joli nom est liberté.
jc blondel
Elle traine en somnambule
Sur le fil d’un vieux funambule
Celle qu’il nomme liberté.
Elle a vécu des jours immondes,
Gardé des blessures profondes
Sur son tendre corps écorchés.
Elle a coupé mille grillages,
Du subir les pires outrages
En plongeant vers l’inconnu.
Elle a forgé ses aventures
En combattant les dictatures
Pour que son nom soit reconnu.
Elle a rompu tous les silences
Défendu des droits, des présences
En cisaillant des barbelés.
Elle a fermé des camps austères
En faisant des drôles de guerres
A tous ces assassins masqués.
Elle a brisé des murs malades,
Supporté toutes les brimades
Dans un souci d’égalité.
Il faut que sa route soit belle
Pour en devenir éternelle.
Son joli nom est liberté.
jc blondel