CRUELLE IMOLA
Il a joué sa vie sur tous les grands circuits
Du Brésil au japon, En France ou en Belgique
Et le bruit des moteurs, est la seule musique
Qui plaisait à ton cœur qui remplissait ta vie
Tu glanas des lauriers et quelques accidents
Il t’attendait parfois au détour d’un virage.
La victoire allumait ton regard, ton visage
Quand tu passais premier, au drapeau noir et blanc
Il a fallu qu’un jour ta petite voiture
Te lâche en Italie, un beau jour de printemps
Sur un mur en béton arrêtant l’aventure
D’un pilote champion, sur l’oracle su temps
Tu dors depuis dix ans, dans un carré de terre
Sous les bras déployé du christ Corcovado
Et ton étoile scintille au firmament des autos
Au coté des copains, au coté de tes pairs
Alors salut Ayrton le copain du dimanche
Assis dans un fauteuil je te voyais gagner
Et encore aujourd’hui, quand se joue une manche
Ton fantôme, Williams, continue de rouler
Il a joué sa vie sur tous les grands circuits
Du Brésil au japon, En France ou en Belgique
Et le bruit des moteurs, est la seule musique
Qui plaisait à ton cœur qui remplissait ta vie
Tu glanas des lauriers et quelques accidents
Il t’attendait parfois au détour d’un virage.
La victoire allumait ton regard, ton visage
Quand tu passais premier, au drapeau noir et blanc
Il a fallu qu’un jour ta petite voiture
Te lâche en Italie, un beau jour de printemps
Sur un mur en béton arrêtant l’aventure
D’un pilote champion, sur l’oracle su temps
Tu dors depuis dix ans, dans un carré de terre
Sous les bras déployé du christ Corcovado
Et ton étoile scintille au firmament des autos
Au coté des copains, au coté de tes pairs
Alors salut Ayrton le copain du dimanche
Assis dans un fauteuil je te voyais gagner
Et encore aujourd’hui, quand se joue une manche
Ton fantôme, Williams, continue de rouler