DES MOTS SANS DESTIN
Au paradis des mots, je fermerai la porte
Mes vers se sont fanés dans un jardin sans nom
Ils ont l’air désuet, ils sont à l’abandon
Sur le sable ils sont là, le grand vent les emporte.
Mon ultime chanson restera lettre morte
Sur le coin du bureau, posée sur un carton,
Attendant le réveil de ce petit crayon
Qui peux lui redonner son âme en quelque sorte.
La muse a déserté mes rêves d’infini,
Elle a rayé d’un trait son grand bonheur détruit
Et ne veux plus trouver sa place en ma mémoire.
Le refrain est défunt, il perd son écrivain
Il ne peut plus compter sur cette belle histoire
Qui n’a plus d’avenir, qui n’a plus de destin.
Au paradis des mots, je fermerai la porte
Mes vers se sont fanés dans un jardin sans nom
Ils ont l’air désuet, ils sont à l’abandon
Sur le sable ils sont là, le grand vent les emporte.
Mon ultime chanson restera lettre morte
Sur le coin du bureau, posée sur un carton,
Attendant le réveil de ce petit crayon
Qui peux lui redonner son âme en quelque sorte.
La muse a déserté mes rêves d’infini,
Elle a rayé d’un trait son grand bonheur détruit
Et ne veux plus trouver sa place en ma mémoire.
Le refrain est défunt, il perd son écrivain
Il ne peut plus compter sur cette belle histoire
Qui n’a plus d’avenir, qui n’a plus de destin.