DANS UN ULTIME ORAGE
Quand le grand oiseau noir, au dessus des tombeaux,
Volera dans le soir sur nos folles détresses
Au gré des désamours et des fausses caresses
Il verra d’un regard, nos âmes en lambeaux.
Le mensonge a cassé le plus beau des châteaux
Sous le coup de butoir de ses tristes promesses
L’aubade du désir, dans de mornes tendresses
Sur l’aube d’un beau jour, a tiré les rideaux.
Le vide s’installa sans un cri sans murmure
Le décor a perdu sa plus belle parure
L’amour avait pris froid dans cette sombre nuit.
Le plaisir divaguait puis loupait le virage
Il allait s’égarer dans un monde interdit
Pour aller se noyer dans un ultime orage.
Quand le grand oiseau noir, au dessus des tombeaux,
Volera dans le soir sur nos folles détresses
Au gré des désamours et des fausses caresses
Il verra d’un regard, nos âmes en lambeaux.
Le mensonge a cassé le plus beau des châteaux
Sous le coup de butoir de ses tristes promesses
L’aubade du désir, dans de mornes tendresses
Sur l’aube d’un beau jour, a tiré les rideaux.
Le vide s’installa sans un cri sans murmure
Le décor a perdu sa plus belle parure
L’amour avait pris froid dans cette sombre nuit.
Le plaisir divaguait puis loupait le virage
Il allait s’égarer dans un monde interdit
Pour aller se noyer dans un ultime orage.