SUR TON SEIN, MADAME.
Sur la pointe d’un sein, je poserai la main
Pour aller découvrir le fin fond de ton âme.
Profitant à loisirs de ton corps blanc, madame
Je laisserai la nuit filer jusqu’au matin.
Otage d’un plaisir qui brûle mon destin
Je chercherai le soir ta peau blanche de femme.
Je prendrai tes effets, cette belle oriflamme,
Pour décorer ma vie d’un drapeau de satin.
Pour dénicher ton cœur de son nid de ficelles
Je viendrai patauger dans tes rouges dentelles
En faisant un festin d’un reste de désir.
Tes appas dénudés me feront des rivages
Qu’en aveugle l’amour se décide à m’offrir
Pour vivre sans répit, de merveilleux voyages.
Sur la pointe d’un sein, je poserai la main
Pour aller découvrir le fin fond de ton âme.
Profitant à loisirs de ton corps blanc, madame
Je laisserai la nuit filer jusqu’au matin.
Otage d’un plaisir qui brûle mon destin
Je chercherai le soir ta peau blanche de femme.
Je prendrai tes effets, cette belle oriflamme,
Pour décorer ma vie d’un drapeau de satin.
Pour dénicher ton cœur de son nid de ficelles
Je viendrai patauger dans tes rouges dentelles
En faisant un festin d’un reste de désir.
Tes appas dénudés me feront des rivages
Qu’en aveugle l’amour se décide à m’offrir
Pour vivre sans répit, de merveilleux voyages.