LORSQU’UN MINOIS SOURIT
Lorsqu’un minois sourit dans le soir de la nuit
Fait attention mon gars c’est déjà l’escalade
Un virus quelquefois vous tend une embuscade
Ces risques en amour peuvent coûter une vie.
Il faut sortir couvert se protéger d’avance
Pour ne pas être enfin condamner au silence
Le plaisir est un roi, funeste quelque part
Quand l’envie de changer vous cloque le cafard.
En lançant votre cœur éperdu de plaisir
Dans le petit matin une ultime écorchure
Pour ces quelques instants de superbe désir
Vous lesterez d’un poids les pieds de l’aventure.
Vous devrez chaque jour sauver vos corps du mal
De ce monstre latent, qui vous épie, vous guette,
La moindre des erreurs est un piège fatal
Qui vous emportera dans sa sourde tempête.
Il arrivera bien ce temps où le sida
Finira son labeur ses trop tristes besognes
Et vous pourrez enfin vous aimer sans tracas
Et puis croire à nouveau dans l’été des cigognes.
jc blondel
Lorsqu’un minois sourit dans le soir de la nuit
Fait attention mon gars c’est déjà l’escalade
Un virus quelquefois vous tend une embuscade
Ces risques en amour peuvent coûter une vie.
Il faut sortir couvert se protéger d’avance
Pour ne pas être enfin condamner au silence
Le plaisir est un roi, funeste quelque part
Quand l’envie de changer vous cloque le cafard.
En lançant votre cœur éperdu de plaisir
Dans le petit matin une ultime écorchure
Pour ces quelques instants de superbe désir
Vous lesterez d’un poids les pieds de l’aventure.
Vous devrez chaque jour sauver vos corps du mal
De ce monstre latent, qui vous épie, vous guette,
La moindre des erreurs est un piège fatal
Qui vous emportera dans sa sourde tempête.
Il arrivera bien ce temps où le sida
Finira son labeur ses trop tristes besognes
Et vous pourrez enfin vous aimer sans tracas
Et puis croire à nouveau dans l’été des cigognes.
jc blondel