Sale temps en été
Une saison où fleurissent tous ces beaux papillons,
Vire-voletant dans ce ciel bleuté sur des chardons,
Que même la grande herbe n’en aura pas eu raison.
Une période dans l’année, bercé par le soleil,
Qui réchauffe fortement le cœur de nos abeilles,
Butinant des fleurs nouvelles pour donner ce miel.
Lorsque tu me l’as appris, le ciel s’est couvert,
Des larmes de pluie ont jailli de nos yeux verts,
Tout a subitement changé, le vent s’est levé,
Balayant d’un coup notre rêve, notre bébé,
Dieu des hommes, est-ce nécessaire d’imposer souffrance,
A nous qui nous sommes trouvés après une absence,
longue de dix ans : tant d’années sans aucun amour,
tant de temps à ne plus voir se lever le jour ?
Que font nos anges, qui ont permis notre rencontre,
Nous laissent-ils maintenant courir après la montre ?
De cette saleté qui te ronge j’en donnerai pâture,
A tous ces rapaces et vautours à la dent dure.
Depuis, une bise souffle sur notre destinée,
Vraiment, quel sale temps pour ces mois d’été.
Lorsque tu l’apprends un arc-en-ciel a surgit.
Colorant avec le soleil, ce ciel bleu-gris.
Nuages et pluie ont fuis vers d’autres horizons,
Je te sers dans mes bras où tu me fais ronron
J’embrasse la vie, mes anges et toi ma fée Sanza,
Reprenant tous les deux ce roman en bonne page.
Qu’importe le miracle, la vie est un vrai miracle
Il nous suffit de l’accepter, d’accepter nos différences
Bourdon heureux de retrouver sa petite fleur.
Une saison où fleurissent tous ces beaux papillons,
Vire-voletant dans ce ciel bleuté sur des chardons,
Que même la grande herbe n’en aura pas eu raison.
Une période dans l’année, bercé par le soleil,
Qui réchauffe fortement le cœur de nos abeilles,
Butinant des fleurs nouvelles pour donner ce miel.
Lorsque tu me l’as appris, le ciel s’est couvert,
Des larmes de pluie ont jailli de nos yeux verts,
Tout a subitement changé, le vent s’est levé,
Balayant d’un coup notre rêve, notre bébé,
Dieu des hommes, est-ce nécessaire d’imposer souffrance,
A nous qui nous sommes trouvés après une absence,
longue de dix ans : tant d’années sans aucun amour,
tant de temps à ne plus voir se lever le jour ?
Que font nos anges, qui ont permis notre rencontre,
Nous laissent-ils maintenant courir après la montre ?
De cette saleté qui te ronge j’en donnerai pâture,
A tous ces rapaces et vautours à la dent dure.
Depuis, une bise souffle sur notre destinée,
Vraiment, quel sale temps pour ces mois d’été.
Lorsque tu l’apprends un arc-en-ciel a surgit.
Colorant avec le soleil, ce ciel bleu-gris.
Nuages et pluie ont fuis vers d’autres horizons,
Je te sers dans mes bras où tu me fais ronron
J’embrasse la vie, mes anges et toi ma fée Sanza,
Reprenant tous les deux ce roman en bonne page.
Eric 20-10-07
Qu’importe le miracle, la vie est un vrai miracle
Il nous suffit de l’accepter, d’accepter nos différences
Bourdon heureux de retrouver sa petite fleur.