Un jour, peut-être !
Viendra le soleil sur mon cœur noyé par le chagrin,
Car je sais que tu me feras présence un jour prochain.
Soufflera le vent alors sur mes nuits vêtues de noir,
Car je sais que dans mon lit tu m’y feras ton roi.
Tombera la pluie sur nos visages ivres de bonheur,
Car nous connaitrons enfin la fin de nos douleurs.
Brûlera le feu sur nos regrets d’une vie perdue
Car nous serons plus vieux à la tombée de la lune.
Allumez un cierge sur notre amour le jour des vêpres,
Car je sais que vous viendrez un jour, peut-être.
Ne perdez plus de temps, courez vers votre bienaimé
Car vous saurez finalement la valeur du verbe aimer,
Ne serait-ce qu’une seconde ou une heure, de la vie profitez.
Ecrit rongé par le doute, par l’amour qui s’enfuit, par l’espoir qu’il revienne un jour, peut-être.
Viendra le soleil sur mon cœur noyé par le chagrin,
Car je sais que tu me feras présence un jour prochain.
Soufflera le vent alors sur mes nuits vêtues de noir,
Car je sais que dans mon lit tu m’y feras ton roi.
Tombera la pluie sur nos visages ivres de bonheur,
Car nous connaitrons enfin la fin de nos douleurs.
Brûlera le feu sur nos regrets d’une vie perdue
Car nous serons plus vieux à la tombée de la lune.
Allumez un cierge sur notre amour le jour des vêpres,
Car je sais que vous viendrez un jour, peut-être.
Ne perdez plus de temps, courez vers votre bienaimé
Car vous saurez finalement la valeur du verbe aimer,
Ne serait-ce qu’une seconde ou une heure, de la vie profitez.
Eric 06 novembre 2007
Ecrit rongé par le doute, par l’amour qui s’enfuit, par l’espoir qu’il revienne un jour, peut-être.